Deux artistes camerounais nommés ambassadeurs d’UNICEF

Gino Sitson, Musicien De Jazz Camerounais Gino Sitson, musicien de jazz camerounais

Thu, 21 Jul 2016 Source: cameroon-info.net

C’est sur son compte Facebook que Gino Sitson, musicien de jazz camerounais vivant aux États-Unis, a dit sa gratitude pour cette nomination. «Je viens d’être nommé ambassadeur de bonne volonté pour le Fonds des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF) Cameroun. Je suis profondément honoré par cette nomination». C’était en début du mois de juillet 2016. Revenant sur les missions qui se rattachent à cette nouvelle fonction, l’artiste confie: «Je suis impatient d’aider les enfants à travers l’éducation, les arts et travailler avec eux afin de mettre en lumière leurs compétences», lit-on dans Le Messager du mercredi 20 juillet 2016.

Mais l’artiste ne sera pas le seul à être aux côtés des enfants pour le compte de l’Unicef. Sally Nyollo a été elle aussi nommée ambassadrice de bonne volonté de l’Unicef. Et c’est sur les antennes de la CRTV que la nouvelle a été rendue publique lors de son passage au journal télévisé de 20 heures du mercredi 6 juillet 2016.

Gino Sitson et Sally Nyollo ne sont pas les premiers Camerounais à avoir bénéficié de la sollicitude de l’Unicef. En 2005, le footballeur Samuel Eto’o a rejoint les rangs de l’organisme international. En 2015, c’était au tour du boys-band camerounais X-Maleya de devenir le porte-étendard de l’enfance pour le compte de l’UNICEF Cameroun, rappelle le quotidien. En effet, l’organisme utilise l’image de ces «modèles» pour promouvoir ses valeurs. Et les couloirs qu’il emprunte pour y parvenir sont l’éducation, l’inclusion sociale, la survie des enfants, des urgences et actions humanitaires, etc.

Pour mémoire, c’est le 11 décembre 1946 que l’UNICEF voit le jour. L’organisme a été fondé par Maurice Pate et Herbert Clark Hoover, alors Président des États-Unis de 1929 à 1933. La mission principale est d’être un organe qui œuvre pour «un monde dans lequel les enfants bénéficient de toutes les chances égales».

Source: cameroon-info.net