Ils sont des millions de personnes à faire le buzz sur la toile, mais seulement une douzaine de personnes se sont mobilisées ce Samedi 20 Février 2016 à la Place du Trocadéro à Paris, répondant à l’appel du collectif pour EVA, cette enfant de trois ans qui a été enlevée à Douala au Cameroun pendant qu’elle jouait loin du regard de ses parents, puis retrouvée quelques jours plus tard le corps mutilé de ses organes génitaux, des pratiques sataniques dont les Camerounais croyaient jusqu’à un passé récent leur pays à l’abris.
Ils sont des millions de personnes à faire le buzz sur la toile, mais seulement une douzaine de personnes se sont mobilisées ce Samedi 20 Février 2016 à la Place du Trocadéro à Paris, répondant à l’appel du collectif pour EVA, cette enfant de trois ans qui a été enlevée à Douala au Cameroun pendant qu’elle jouait loin du regard de ses parents, puis retrouvée quelques jours plus tard le corps mutilé de ses organes génitaux, des pratiques sataniques dont les Camerounais croyaient jusqu’à un passé récent leur pays à l’abris. C’est pour dire leur indignation que certains à Paris n’ont pas hésité à braver le froid pour dire à la face du Monde entier que les autorités du Cameroun doivent se réveiller et prendre leurs responsabilités, face à ce nouveau péril qui guette l’avenir de notre jeunesse.