• La promotrice de Clap Style est accusée d’abus de confiance
• Elle est accusée par le promoteur d’une agence de communication
• Elle aurait signé des contrats dans le dos du promoteur
La promotrice de la boutique Clap Style, Dorice Djamen est accusée d’abus de confiance et de trahison par un jeune entrepreneur camerounais. L’histoire a été dévoilée par le TGV de l’info sur Facebook.
« Nous avons été contactés par un jeune entrepreneur camerounais au nom de Romaric Tene, PDG de l'entreprise de communication « Manager pub agency sarl » qui se plaint d'avoir été abusé par Somwa Dorice Yde, la promotrice de Clap style empire. », a rapporté le TGV de l’info avant de continuer en détaillant les faits.
« En effet, Romaric nous rapporte que le 1er avril 2022, il a signé un accord verbal d'accompagnement avec la promotrice de la société Clap style empire, la nommée Somwa Dorice Yde épouse Djamen.
Ils se sont convenus d'un accompagnement dans le but de réanimer son entreprise, car elle traversait une véritable crise qui la ruine. C'est ainsi que Romaric lui propose ses services qu'elle accepte et la collaboration commence. Dorice fait de lui son manager pour sa carrière et le Directeur général de son entreprise Clap style empire.
L'entreprise de communication de Romaric monte une stratégie efficace pour parfaire son image et la remettre sur le marché. Les deux parties s'accordent que Dorice vienne au Cameroun en juillet 2022 pour officialiser leur partenariat et faire les comptes.
Alors ils ont commencé à être convoités par les marques. Deux contrats sont signés avec certaines structures 1Xbet pour 400 000 Frs et Romaric remet la totalité de l'argent à sa collaboratrice. Un autre contrat de participation à un spectacle à Montréal où Dorice vit actuellement est signé à une valeur de 250 $ pour son carburant.
Chemin faisant, Romaric et son équipe ont été vrais et disponibles pour lui apporter à ma promotrice de Clap style empire leur expertise, mais à la fin, elle a trahi son partenaire.
Elle a par exemple signé un contrat avec l'ONG La croix rouge à l'insu de ce dernier pour une valeur de 3 570 000 frs. Lorsque Romaric est informé de ce contrat parce que les deux parties ne s'entendaient plus dans l'accord.
Après cette trahison et abus de confiance, Romaric ne pouvait ni quantifier son apport, évaluer sa stratégie et savoir s’il peut conclure un engagement plus sérieux avec elle. Cet abus de confiance l'a donc mis dans une situation inconfortable où il a suspendu les activités jusqu'à nouvel ordre. Par la suite, Romaric a monté une facture pro forma matérialisant son apport, car en deux mois de boulot, le financement était à fond propre. Même 5frs son entreprise n'a jamais perçu venant d'elle. Mais il a constaté que sa stratégie fonctionnait et pendant ce temps elle signe des contrats derrière son dos. »