Agression : Aimée Virgile Makougoum raconte le cauchemar qu’elle a vécu

• Virgile Makougoum a été victime d’une agression à main armée

• Cette scène s’est déroulée dans la ville de Douala

• Elle raconte et met en garde les internautes

De plus en plus, les techniques d’agression sont innovantes dans les villes du Cameroun. L’actrice camerounaise Aimée Virgile Makougoum, plus connue sous le nom de tata Mimie a été victime d’une agression bien orchestrée dans les rues de la capitale économique camerounaise, Douala.

Afin, de mettre en garde les uns et les autres, elle décide de partager cette situation avec sa communauté.

Tata Mimie passait au carrefour marché des fleurs à Douala, sous une très forte pluie vers 12h30. Son regard se dirige au bord de la route et elle voit une femme tenant son bébé et les deux étaient complètement trempés et un peu plus loin un monsieur se tenait aussi sous la pluie. La dame tenant son bébé interpelle les automobilistes en vain. Pris de pitié, la jeune actrice camerounaise décide de lui venir en aide.

En montant dans la voiture, la jeune dame mentionne que c’est son époux qui se trouve un peu plus loin et elle lui fait signe de venir. Elle porte la petite famille sans hésitation.

Après quelques minutes, Tata Mimie ressent au niveau de sa nuque une sensation de glacé et quelques secondes après, elle se rend compte qu’il s’agit d’un couteau que le monsieur avait. Il exige donc que cette dernière lui remette son sac et main. Elle décide de ne pas hésiter et le monsieur récupère les billets à l’intérieur mais il décide de laisser le téléphone de peur d’être tracé.

Après leur forfait, il demande à l’actrice de les déposer et les deux sautent sur une moto qui les suivaient de près depuis le départ.

Virgile Makougoum, figée et tremblante de peur, observe ses bourreaux prendre la fuite. Elle ira plus tard déposer une plainte contre ces malfaiteurs. « Je me demande s'il y avait vraiment un bébé dans les bras de la dame, c'était sûrement une ruse pour faire pitié. Je n'ai eu que mes yeux pour pleurer », a-t-elle conclu.