Un appel à l'aide est demandé pour une femme qui traverse une période si difficile. Son histoire est touchante, relayée par l'activiste Jorel Jacques Zang.
Je me prénomme Brigitte et je vous raconte mon histoire. Je me suis mariée en août 2020 et moins de 4 mois après exactement en décembre 2020, je perds mon époux des suites de courte maladie.
J’ai pensé que le ciel m’est tombé dessus. Nous avions déjà 3 merveilleux enfants eus avant le mariage, qui étaient âgés au moment de son décès de 6 ans, 4 ans et 8 mois.
Après l’enterrement, j’ai été obligée de déménager de Yaoundé où nous étions en location pour Douala chez mes beaux-parents dans un premier temps. Entre-temps, je me suis résolue à faire une formation en onglerie pour pouvoir prendre soin de mes enfants.
Après 2 ans environ passés dans ma belle-famille, je décide de rendre vivable au minimum la maison commencée par mon défunt mari pour y aller. J’y suis depuis 2 ans, mais je rencontre beaucoup de difficultés financières et au niveau de la maison.
Avec les pluies, je n’ai presque pas de vie avec la dalle qui suinte, j’y avais mis une bâche auparavant pour protéger la dalle des pluies qui a été volée en mon absence. Même nourrir les enfants au quotidien est un réel parcours de combattant, encore plus les envoyer à l’école. J’ai même décidé de les laisser au village cette année le temps pour moi d’essayer de me remettre car la vie en ville est chère et je n’en peux plus.
Je vous exhorte de me venir en aide s'il vous plaît afin de payer la scolarité et les fournitures des enfants, d’augmenter même mon capital, de renforcer mon matériel de travail qui m’aidera à long terme afin de mieux prendre soin de mes enfants.
L'histoire est réelle selon le lanceur d'alerte qui a pu le vérifier à l'aide de son équipe. Des numéros ont été donnés sur sa page pour ceux et celles qui veulent aider. Le nom de la dame est Judith Tanke.