• Sa boutique située à Bastos serait en réalité une maison qu’elle loue
• Depuis 2 ans, elle ne payerait plus le loyer
• Les propriétaires décident de porter plainte mais la plainte retombe sur eux
Selon les révélations de Boris Bertolt, la femme d’affaires camerounaise Carine Mongoue plus connu sous le nom de Carimo, loue la maison d’un papa à mini prix, à Bastos en bordure de route. Elle est entrée dans la maison en 2019. Après avoir payé un an, depuis deux ans, elle ne paie plus le loyer. Le loyer coûte 500 000 FCFA par mois. Le contrat a été signé le 31 janvier 2019 au 31 janvier 2022. Jusqu’à ce jour elle n’a pas libéré la maison et ne paye non plus le loyer.
Elle aurait aussi contribué à dégrader la maison d’un vieux père de 80 ans en la transformant en boutiques sans autorisation du bailleur. Après deux ans sans payer le loyer, les enfants du monsieur ont déposé plainte contre Carimo mais les magistrats se seraient assis sur le dossier.
« Par la suite, Carine Mongoue a fait arrêter le papa qui a passé plusieurs jours en cellule. Les enfants ont dû payer 1 millions FCFA pour faire sortir leur papa de 80 ans de la cellule », explique Boris Bertolt.
« Mongoue, écoute ma chère. On peut résoudre ça facilement. Les enfants demandent que tu quittes la maison de leur papa qui est sa seule retraite et tu pars avec les 2 ans. Vraiment on ne peut pas être méchante comme ça. 2 ans sans payer le loyer d’un vieux papa pour venir après jouer aux stars sur Facebook. 500 000 FCFA c’est quoi ? Cela justifie que tu envoies un père d’enfant qui a construit sa maison avec la sueur de son front en prison ? On va faire simple. Soit tu trouves un terrain d’entente avec les enfants et tu libères la maison. Soit croit moi tu seras une véritable star. Même ces policiers et magistrats corrompus qui te protègent vont fuir ce dossier. On ne peut pas prétendre gagner de l’argent et agir avec autant de méchanceté. Toi-même tu sais ce qui te reste à faire. C’est même quoi avec le trafic d’influence dans ce pays. », a-t-il ajouté après avoir relaté les faits.