Le single fait déjà le buzz dans les réseaux sociaux. Intitulé «la faute à qui», Chantal Ayissi dénonce l’hypocrisie et l’ingratitude. L’artiste parle de ceux qui font du mal et sont les premiers à jouer les victimes.
Le Quotidien Emergence dans son édition en kiosque du 30 mars 2016 écrit qu’«elle déclare dans ce chant qu’on ne peut pas abattre un baobab avec une machette. Elle demande donc c’est la faute à qui si les femmes n’ont pas les mêmes chances. Elle demande c’est la faute à qui si les doigts n’ont pas la même taille».
En fait en 2015 l’artiste a fait les choux gras de la presse avec des diffamations «d’une certaine Océane Camer» sur les réseaux sociaux. Le journal écrit à ce propos «celle-ci étalait la soi-disant vie de Chantal Ayissi en mondovision. Elle présentait la sœur des Ayissi comme une personne très méchante qui utiliserait même le surnaturel pour obtenir tout ce qu’elle désire».
On a souvenance du droit de réponse fait par Iman Ayissi pour demander à la personne suscitée d’arrêter les diffamations contre sa sœur. Chantal Ayissi qui ne s’est pas prononcée publiquement sur ladite affaire selon le journal a saisi ce single pour répondre à ses «détracteurs».
«Vous avez parlé, vous avez menti, vous avez tout écrit dans les réseaux sociaux, je suis restée debout», chante-t-elle.
Des colonnes du journal on apprend que la sortie officielle du single «à qui la faute» est prévue pour les prochains jours.