• Valséro a diasgnostiqué le mal de la web comédienne Suzanne
• Elle est profondément habitée par le démon du tribalisme
• En guise de réponse au rappeur, elle s'est moquée de son direct
Le rappeur Valséro a reçu dans sa clinique psychiatrique à ciel ouvert la jeune dame Suzanne Etougou, celle qui "s'est mise dos à dos à communauté Bamiléké" du Cameroun. Elle a pourtant nié qu'elle ne s'adressait pas à eux mais plutôt à ceux qui crachent du feu sur la toile sur tout le monde sans mesurer les conséquences.
Valséro qui se dit proche d'elle, ne l'a pas raté. Il indique que c'est le démon du tribalisme qui a pris possession d'elle depuis et qui a fini par se dévoiler. Dans sa sortie, elle s'attaquait aux talibans qu'elle traitait de nomades, les personnes sans lieu fixe. Alors qu'au Cameroun actuellement, l'etnie qui n'a pas de région fixe est Bamiléké. Les Bami sont dispersés sur le territoire camerounais. Ce qui fait d'eux d'emblée les pleuples nomades du Cameroun. Elle est félicitée par ses frères Ekang sur la toile à l'instar de Junio Zogo. "Tu fais notre fierté Ambimté", déclare-t-il.
La jeune web comédienne s'est imiscée dans le direct de Valséro pour commenter son post. Sa réaction démontre qu'elle n'est pas touchée par la vidéo de Valséro. "Bonjour les enfants, c'est maman", a-t-elle commenté avec un large rire.
Les chanteuses d'origine Bamiléké Letis Diva et Oshiga ont remonté sévèrement les brettelles à la jeune dame qui dans une nouvelle sortie précise qu'elle maintient ses propos et qu'elle ne demandera pardon à personne. Letis lui rappelle ces moments de galère où elle a été aidée abondamment par ses connaissances Bamiléké, quant à Oshiga, très meurtrie dans l'âme elle décrit ce que c'est que d'être Bamiléké au Cameroun depuis l'enfance jusqu'à l'âge adulte. Un vrai calvaire, conclut-elle.