Selon le Quotidien Emergence, la première personne à avoir tiré à boulets rouge sur le comité d’organisation de l’élection miss Cameroun 2016 est la miss de la Région de l’Adamaoua. Une grande première, puisqu’une participante à cette compétition de beauté n’avait jamais critiqué avec autant de virulence le comité d’organisation. «wahoo pour être miss, je dois acheter les votes à 500 000 FCFA, chère Julie Cheugue. Pour être première dauphine, chère Audrey, je dois colporter et feindre tout au long de la compétition. Wahoo, décidément COMICA (Comité d’organisation de l’élection miss Cameroun, NDLR), je vous donne les mains. Il faut souvent cacher vos nullités», a-t-elle publié sur les réseaux sociaux.
Le Quotidien Emergence rapporte que ce poste a créé deux camps. Un fustigeant l’attitude de la miss Adamaoua, l’autre soutenant sa position. En dehors de ce que dénonce cette participante à l’élection, des zones d’ombre demeurent à certains niveaux de cette compétition. À en croire le Quotidien Emergence, le nombre de finalistes est passé de 30 à 25, sans aucune explication du comité d’organisation. Difficile donc d’expliquer la démission des quatre autres candidates, en dehors de Larissa Bulong, la miss Nord-Ouest, suspendue pour avoir manqué la mise au vert du 23 juillet 2016, pour des raisons académiques.
Julie Cheugue Nguimfack, la miss Cameroun 2016 se voit contester sa couronne, selon le journal Émergence. Elle est au centre de nombreuses critiques des internautes qui pensent qu’elle n’est pas digne de représenter la beauté camerounaise. «Cette fille n’est pas belle. Elle est loin de représenter la beauté camerounaise», dénonce le journaliste Armand Ougock dans les colonnes du journal Émergence.