Déception amoureuse : pour se venger, il accuse son beau-père d'avoir volé sa moto

Il a eu sa dose et il ne pouvait pas rester sans se venger. L’homme a été un peu méchant mais c’est la fin qui justifie les moyens, s’en est-il convaincu. Voici son histoire.

Je suis Didier, j'ai eu une histoire d'amour avec Ange pendant un bon moment, on vivait le parfait amour. Comme cadeau d'anniversaire pour son papa, je lui avais offert une très belle moto toute neuve. C'était la joie totale. Elle était très contente.

Lors de la remise du cadeau, son papa avait dit je cite "merci fils je suis honoré, mais où sont les papiers de la moto ?". J'ai répondu t'inquiètes papa, vas-tu rouler sur la moto ou sur les papiers ? Il a souri. J'ai pris le soin de bien garder les papiers. Le temps passait. À une période donnée, ça n'allait plus bien entre nous.

Apparemment, Ange a fait la rencontre d'un mbenguiste. La relation était devenue comme dans un champ de bataille. La fille m'a plaqué. Le goumin était très amère. Sans broncher, je suis allé au commissariat déclarer la perte de ma moto, j'ai présenté les papiers au complet.

J'ai ajouté en disant à l'enquêteur que dans mes balades, j'avais vu une moto qui ressemblait à la mienne dans un quartier de la place, j'ai donné toutes les indications. Je suis rentré. Le lendemain, les agents de la police sont arrivés sur les lieux, c'était le déluge, ils ont emmené son papa, toute la famille était derrière lui.

Arrivé au commissariat, on m'a contacté, j'ai dit qu'ils fassent du voleur ce qu'ils veulent, je veux juste ma moto. Je vous assure que la fille a débarqué chez moi en pleurant.

Que Didier, je ne pouvais jamais imaginer cela de toi. Le commissaire a demandé 1 million 200 mille. Sinon, ça ira au parquet.

La moto était de marque Apache, ça m'avait coûté 500 mille à Moubi sans ses papiers. Plus ses papiers, c'était plus. Je ne suis pas fier mais toute sa famille a quand même ressenti la douleur que j'ai eu quand leur fille m'a laissé tomber. Selon les dires, sa famille a payé après avoir vendu une partie de leur terrain.