Deux femmes causent de leur nuit au bureau

C’est une situation décrite par coach Tata Myrah, une conseillère matrimoniale très suivie sur les réseaux sociaux. Ses publications font souvent l’objet de plusieurs commentaires et sont dignes d’intérêt.

Cette fois-ci, elle parle de deux femmes qui sont venues au travail et se sont mises à parler de leur nuit respective. Que se disent-elle ?

La première femme fait savoir : « Ma copine, ma nuit a été mauvaise. Mon mari est rentré du bureau, a pris sa douche puis son dîner et s'est endormi. Je croyais qu'il me ferait sortir. Mais rien. Hum ».

À son interlocutrice de répondre : « Ah ma chérie, chez moi, ça été très cool. Mon mari est superbe. Je resterais célibataire si Dieu ne l'avait pas mis sur ma route. Il m'a fait sortir hier soir, on a mangé dans un resto, on a fait une balade à pieds et revenir à la maison. Dès notre retour, il alluma les bougies, c'était féérique ».

La coach fait savoir également qu’au même moment, les deux maris ont aussi causé dans leur bureau. « Mon cher ma femme est un ange. Quand je suis rentré du bureau, elle m'a fait prendre ma douche et m'a fait manger un bon repas. J'étais tellement aux anges que je me suis endormi sans m'en rendre compte », dit le premier.

Le deuxième homme lui répond : « Hum chez moi, ça été fatigant. À mon arrivée, on n'avait plus de gaz pour la cuisine. J'ai donc mangé dans un resto avec ma femme malgré moi, je n'avais pas assez de sous. Pour retourner à la maison, le taxi me coûterait cher, j'ai donc fait croire à ma femme qu'une balade à pieds serait plus romantique et on a regagné notre maison à pieds. Une fois arrivé et chose inattendue, il y avait coupure de courant. Frère, on a dû dormir sous les lueurs chaudes des bougies. J'ai mal dormi et je suis courbaturé ».

La morale de l’histoire, selon celle qui la raconte, est : « Abstenez-vous de parler du mal de votre quotidien au foyer et ne vous fiez pas aux dires des autres. Votre quotidien est peut-être mieux que celui de votre interlocuteur ou interlocutrice ».