Internet est, depuis sa création, considéré comme un espace de liberté où tout peut être dit et contredit.
Cependant, il n’en demeure pas moins vrai que les utilisateurs de cette agora des temps modernes sont, au même titre que dans la vie réelle, soumis aux lois qui régissent leur pays. En employant des propos calomnieux, discriminatoires ou diffamatoires, on s’expose devant la loi à devoir répondre de ce qu’on avance.
Média par excellence, Internet propose à ses utilisateurs de plus en plus de dispositifs facilitant la communication. Du coup, chacun s’autoproclame journaliste et critique de circonstance,
Il est donc important de rappeler que même caché derrière un faux profil n’exonère pas de toute responsabilité pour des propos désobligeant et malveillant postés sur internet et portant atteinte à l’honneur et à l’intégrité de toute personne.
C’est d’ailleurs ce qu’a tenu à indiquer, non sans mise en garde, l’équipe de Stanley Enow à travers un communiqué rendu public par son manager Didier Kouamo. Ceci suite à une campagne de dénigrement à l’encontre de l’artiste. Ledit communiqué dit :
TO WHOM IT MAY CONCERN!
La récréation doit s’arrêter.
Toute personne coupable de diffamation, d’injures et autres formes de violation des droits de Stanley Enow en répondra .
Les réseaux sociaux n’autorisent pas tout .
Force reviendra à la Loi.
Je concède qu’on ait le droit de
« rire de tout, mais pas avec tout le monde »!
A bon entendeur !
Didier Kouamo, #Manager. »