Diplômée en droit : elle est chassée du barreau à cause de sa vidéo sexuelle devenue virale

Le passé ne disparait pas comme sur un simple coup de baguette magique. Surtout lorsque ce passé est entre-temps tombé sur les réseaux sociaux, il est quasiment impossible d’être oublié. D’un jour à l’autre, il peut être déterré au grand dam de la personne ou des personnes directement et indirectement concernées.

C’est ce qui est arrivé à une jeune tiktokeuse qui ne manquait pas d’idées lorsqu’il s’agissait de se déshabiller et de mettre en valeur les parties généreuses de son corps, gracieusement offertes par son créateur.

Aujourd’hui, avec l’expansion du réseau social TikTok, plusieurs filles de chaque nationalité, que ce soit en Afrique, en Europe, En Amérique, en Asie ou en Océanie, se font plaisir avec des vidéos sensuelles.

Sur le continent africain, des jeunes dames sexy ne se font pas prier pour mettre en ligne des vidéos réalisées pour "vendre" leur corps, attirer de nombreux followers et se taper des mentions "J’aime" ainsi.

Les faits qui font l’objet des lignes de cet article que vous lisez se déroulent au Ghana, avec une citoyenne qui a malheureusement été rembarrée pour avoir commis l’erreur de se montrer outrageusement sur TikTok précédemment.

« Ghana : Diplômée en droit, elle se voit refuser l'entrée au barreau à cause d'une vidéo virale d'elle sur TikTok la montrant un peu trop sexy (nue). Yako Lamaire », écrit la page camerounaise Slaybabe destinée à l’actualité liée à la mode et aux célébrités.

« Ps : L'enseignement de la vie hein. Bonjour à tous les tiktokeuses 2.0 », ajoute la plateforme.

Les internautes trouvent qu’elle mérite ce qui lui arrive : « Quand on vous parle c'est que non, on a les beaux corps, nous sommes belles, voilà alors ça les mama n'a twerk sur TikTok ».

« C'est bien fait pour elle, et ça sera le cas pour tous les autres étudiant(e)s de droit. Moi on m'avait déjà sifflé cela depuis, voilà pourquoi je n'ai pas de TikTok et mes photos sur Facebook sont normales », complète un autre.

Un Camerounais avertie encore : « Hum vous ne savez même pas comment les réseaux peuvent bousiller un empire en seulement une seconde. La vie c’est un choix, soit on est décent, soit on est le contraire ».