Esprit démoniaque : Muriel Blanche au centre des critiques

La coach blonde, dans le post titré « Facebook et ses bizarreries », soulève quelques points qui méritent réflexion. La blogueuse dit que « les Africains ne se développeront jamais à cause de l’étroitesse de leur esprit ». Muriel Blanche et sa fille sont citées, c’est l’actrice, récemment marié à Steven Nbienou, qui a partagé l’histoire des sirènes sur les réseaux sociaux, faisant se demander si elle en est une.

(…) Mais ceux dont l’obscurantisme restera à jamais un fardeau, ce sont ceux qui refusent l’élévation de leur esprit. Voilà quelqu’un qui gère un blog avec 200 000 abonnés et qui écrit n’importe quoi sous la photo d’un enfant, cherchant à transformer ce qui, au départ, est féerique en une sombre affaire de sorcellerie villageoise.

« Les contes de fées ne révèlent pas aux enfants que les dragons existent, les enfants le savent déjà. Les contes de fées révèlent aux enfants qu’on peut tuer ces dragons », Gilbert Keith Chesterton.

Les contes de fées ont pour but d’éveiller l’esprit des enfants. Parfois même, ils leur montrent quel pourrait être leur avenir. Les contes et personnages imaginaires contribuent au développement de l’enfant en lui permettant d’avoir une enfance normale et d’apprendre à exprimer ses pensées.

Comme le disait Karl Marx : « Ce sont les réalités qui déterminent les consciences ». En même temps, on ne peut pas vous en vouloir de toujours voir de l’occultisme dans des choses qui n’en nécessitent pas. Pour vous, un enfant, c’est celui qui doit chanter des paroles vulgaires et parler de sexe ? Les chansons de Mani Bella.

« La petite sirène », ce magnifique conte d’Hans Christian Andersen que j’ai lu à l’âge de 12 ans, est une histoire à la fois belle et tragique. Grâce à la mondialisation, ce conte a pris des couleurs splendides, permettant aux enfants de rêver encore plus. Maintenant, chères pages, quand vous vous attaquez à un sujet, ayez l’amabilité d’étayer vos propos avec des arguments solides.



J’ai horreur des discours bâclés. Si vous choisissez d’être absurdes, essayez au moins de rendre votre bêtise agréable à lire.