Connaissant le personnage, ce n’est pas vraiment une surprise. La chanteuse Blanche Bailly aka la "queen mimba" a déjà cette réputation d’une célébrité qui n’a pas peur d’aborder en public ces sujets considérés pour la plupart comme tabous.
Blanche Bailly s’est encore exprimée sur la question et elle n’y est pas allée molo. C’est sur les réseaux sociaux que la star camerounaise Blanche Bailly a sorti le grand jeu. Pour être plus précis, elle a attaqué le sujet sur Snapchat.
La compositrice d’afro pop Blanche Bailly a avoué que « je n’aime pas quand c’est gros… En plus c’est court. J’aime quand c’est bien long et fin, vous voyez un peu ? ». De quoi voulait parler Blanche Bailly, il est facile de dire que tout le monde le sait très bien.
Le blogueur Peupah Zouzoua en particulier, lui qui reprend la citation de Blanche Bailly et ajoute : « Ainsi s’est exprimée mama na Dieudonné hier sur son Snapchat. Un coup de gueule qu’elle avait besoin d’extérioriser car se considérant trop belle pour souffrir ainsi. Elle l’avait trop gardé pour elle, et maintenant tout le monde est au courant ».
Il enchaîne que « ah oui beaucoup de courage à l’artiste camerounaise Blanche Bailly qui a trop souffert à cause des mauvais eye-liner de ce pays. Oui le truc qui est comme le vernis entre ses mains-là, en voulant se maquiller ça ne donnait pas comme elle voulait dans ça l’a énervé ».
Par ailleurs, Blanche Bailly « a hâte que ses copines rentrent des États-Unis avec ce qui est long et fin. Oui c’est tout ! À quoi vous attendiez-vous ? Vous attendiez quoi ? Yeh les sauvages eh. Bref plus de peur que de mal pour l’artiste. L’envol sera embrouillé ».
'La première fois que j'ai fait, c'était avec lui' : la célèbre animatrice Soflane Kengne raconte ce moment de plaisir
Le producteur notoire Ebenezer Kepombia aka Mitoumba souffle une bougie de plus aujourd’hui. Une occasion de plus pour tous ceux et toutes celles qui le connaissent de lui témoigner leur affection. Muriel Blanche lui a dit des mots très élogieux.
L’actrice et égérie de marque n’est pas la seule d’ailleurs. La célèbre animatrice Soflane Kengne a préféré à son tour raconter une anecdote tendancieuse sur les réseaux sociaux.
Soflane Kengne avoue que « la première fois que j'ai fait, c'était avec cet homme. Aujourd'hui il a tout juste cinquante-trois (53) ans. Très bel et délicieux anniversaire ma personne ; puisse notre papa céleste toujours veiller sur toi et t'accorder de nombreuses autres années ».
L’employée de Canal 2 International ajoute : « Merci d'être toujours là pour moi. Aidez-moi mes internautes chéris à lui souhaiter un fructueux anniversaire. Le Seigneur est amour, Soflane Kengne aussi ».
Soflane n’est plus à présenter. Outre ses qualifications professionnelles, c’est une femme qui est très regardante pour son corps : « La vie de Soflane Kengne a basculé en 2016. Cette année-là, l'animatrice de la télévision camerounaise Canal 2 International a décidé de changer radicalement ses habitudes alimentaires », informe Allo Docteurs Africa.
Soflane Kengne est convaincue que l’obésité est un frein à la fertilité : « Je me sens super bien, je suis en grande forme. Ma santé s'est nettement améliorée. Adieu le mal de dos. Je ne suis plus essoufflée au moindre mouvement. Je ne transpire plus au moindre geste et je n'ai plus mal aux genoux. Je peux désormais tenir des heures et des heures sur des talons hauts alors qu'avant c'était impossible. Avant, je pesais 130 kilos et aujourd'hui, je suis entre 78 et 82 », racontait-elle dans une interview accordée à la source susmentionnée.
À la question de savoir, pourquoi a-t-elle décidé de perdre du poids, Soflane a répondu : « Cela s'imposait si je voulais rester en vie et pour donner la vie. J'avais déjà du mal avec mes articulations et je désirais ardemment avoir un bébé. Après une panoplie d'examens, le résultat était sans appel : il fallait perdre du poids pour se donner le maximum de chances de tomber enceinte ».
Que voulait-elle dire par « la première fois que j'ai fait, c'était avec cet homme » ? Qu’est-ce qu’elle a-t-elle justement fait avec Ebenezer Kepombia. Chacun peut facilement avoir sa propre idée sur la question.