Lady Ponce qui a été témoin de la cabale contre « Charlotte Dipanda » est sortie de son silence et a adopté un langage franc et direct qui sonne comme un avertissement à ces « Camerounais » colporteurs de fausses rumeurs.
« J’ai vu ce qui s’est passé avec charlotte Dipanda, il faut qu’on arrête de se taire ». Une façon de lancer un appel aux stars camerounaises victimes de sabotages de réagir désormais et de ne plus garder le silence.
Un silence qu’elle vient de rompre après 10 années d’attaques contre sa propre carrière. Et à ceux qui projetteraient dans le futur de faire circuler des rumeurs selon lesquelles elle serait lesbienne, la star du Bikutsi avertit d’entrée de jeu qu’elle est désolée, « elle adore les mecs ».
Cette déclaration, elle l’a faite en semaine dernière, lors de son Facebook live. Et elle n’a pas caché sa rouge colère contre ces « Camerounais » qui traitent Charlotte Dipanda de lesbienne sur les réseaux sociaux.
« Même Charlotte Dipanda, la douce chacha, Charlotte Dipanda qui est là qui sourit, vous l’avez aussi mise dans votre saleté », dénonce la chanteuse. Et de demander : « vous respectez quoi au Cameroun ? ». « Vous ne respectez plus rien ».
Quand ce scandale a commencé, assure-t-elle, j’avais dit que : « si la rumeur s’avère vraie que le promoteur camerounais Nieng Armand est impliqué dans cette histoire contre Charlotte Dipanda », je ne travaillerai plus avec lui.
« Moi j’ai dit que je ne peux pas travailler avec quelqu’un qui a humilié Charlotte Dipanda », avoue l'auteure du tube à succès « le ventre et le bas ventre ».
Et de poursuivre : « c’est Charlotte Dipanda elle-même qui nous calmait avec son équipe en m’indiquant qu’elle va mener l’enquête pour voir la personne qui a lancé les rumeurs. Toute mon équipe aussi s’est mise dans l’enquête. C’est après qu’on réalise que c’est un autre promoteur qui a monté ce journal pour casser un festival [prévu à Genève le 02 juillet et auquel est invitée Charlotte Dipanda]...
...Quelqu’un essaie de faire un festival pour valoriser la culture camerounaise, et on essaie de le détruire, ça montre le niveau de la méchanceté du Cameroun », se plaint Lady Ponce, qui le 21 juin 2017, a refusé de célébrer la fête de la musique.