C’est son tout premier Extending Player (EP) après une belle série de singles notamment « Simple friend », « Perfect girl », « Margo », et tout récemment « Ndutu » ; engloutit dans une mare schizophrénique musicale caractérisée par la diversité et la versatilité de l’homme, LOCKO nous confesse sa « SKYZO » à travers 10 titres toniques aux mélodies et à la beauté textuelle enivrantes.
La sortie officielle est prévue pour le 28 décembre 2015, mais le label de production Big Dreams Entertainment qui signe LOCKO, a tenu à ce que la presse se délecte exclusivement de « SKYZO » afin que critiques, promotion et surtout bénédiction s’en suivent. Hier jeudi 24 décembre 2015, la grosse team de ladite écurie donnait alors une conférence de presse à la salle des actes du Centre Culturel Camerounais de Yaoundé, y relative (sortie). Cerise sur le gâteau, le clip du tube « Ndutu », réalisé par la structure NS Picture, nous y a été dévoilé. Outre la promotion de la destination touristique et culturelle camerounaise, le clip couvre d’éloges la fille ou « go » camerounaise. Oui, à travers ledit titre, l’artiste LOCKO magnifie, adule, et exalte la femme camerounaise qu’il reconnait être la plus « belle », intelligente et entreprenante, de toutes. Prix de Meilleur artiste urbain camerounais aux KR Revelation Awards, nominé à la catégorie Meilleur artiste d’Afrique Centrale aux AFRIMA et pressenti dans trois catégories (Meilleure performance vocale, Meilleur artiste Afropop, et Artiste masculin de l’année) aux CAMEE-AWARDS, Locko se démarque par de salves bariolées de rythmes RnB et Afropop d’une originalité émouvante, qui aujourd’hui pavent une carrière désormais toute tracée. De son souffle généreux se dégagent de très beaux messages, et LOCKO n’en fini cependant pas de se coltiner à la tâche, l’esprit toujours en ébullition. Entre les séances interminables en studios, les spectacles à n’en plus finir, et ses études (d’abord à l’Ecole Nationale Polytechnique et actuellement étudiant en management à l’Institut Universitaire de des Sciences et du management), l’artiste maintient avec maestria le cap, et sait gérer son emploi du temps. D’une modestie peu ordinaire et d’une simplicité sans faille, c’est tout naturellement que ce natif du Littoral s’est fait adopter par la grande famille de médias locaux et internationaux. Faire du « bon », ça paye toujours…
Relativement à cette sortie, se tiendra un double show case notamment au Palais de Bonanjo à Douala le 28 décembre prochain et le 30 décembre au CCC de Yaoundé, sous le thème « LOCKO meet his fans » ; des shows à inscrire dans une logique de communion avec les mélomanes et ses fans.
Charles Arthur Locko Samba de vrai nom, auteur-compositeur-interprète et beatmaker, une polyvalence qui frise le scandale, pour concilier la culture musicale africaine aux réalités de la mondialisation. Métissage et retour aux sources pour caractériser l’allégeance à la tradition et une ouverture au monde, LOCKO a su trouver « la » formule juste, pour son ascension vers des monts majestueux de « LA » musique, et celle urbaine en particulier. Dans sa quête frénétique de la qualité et du « bon » et son audace pour les mélanges de genres infusant ainsi les arpèges de sonorités locales, on comprend mieux sa SCHIZOPHRENIE… L’ambassadeur de la marque MARTINI nous avouera que son escarcelle, à peine cet EP livré, déborde déjà d’autres tubes. Hum ! Comme si on ne le savait pas encore !!! A force de nous bombarder de hits, il nous a à son tour, rendu schizophrènes.