La dépendance affective, le cauchemar de plusieurs femmes

Une femme a écrit à Tata Myrah pour lui relater sa situation : « J'aimerais que tu me publies. Je crois que je suis dans une dépendance affective et je veux arrêter. J'ai l'impression que quand monsieur ne m'appelle pas, ne m'écrit pas, je ne suis pas en paix.

En fait ces derniers jours, on a eu un problème parce que j'étais dans la chambre et un message est apparu dans sa barre de notification, c'était son s.exe. Ça a attiré mon attention, je suis allée voir et j'ai découvert des choses, je lui ai dit, il s'est fâché que non, je fouille son téléphone, que je n'ai pas honte.

Je lui ai dit que depuis, il me ment et j'ai découvert la vérité. Maintenant, il fait un genre, donc j'ai envie de l'ignorer complètement, ne plus le gérer, même le calculer jusqu'à ce qu'il avoue ou alors je quitte progressivement. Conseils s’il vous plaît ».

Un citoyen est venu à son secours : « "Je suis en dépendance affective". Ça veut dire que tu es déjà guérie. Le dire ? Tu es à moitié guérie. C'est une décision et du caractère.

Conseil 1 : Je te conseillerais de te concentrer un peu sur toi. Apprends à plus te regarder. Apprends à plus t'aimer. Remplis tes journées et ta vie d'événements. En tant que jeune fille, tu as tellement de choses à faire (étudier, faire des formations, créer des choses et entreprises). NB : La dépendance, c'est s'oublier, s'effacer et ne vivre, respirer, réfléchir que par lui. Il ne m’a pas encore appelé. Je deviens hystérique. Non.

Conseils 2 : Suis le conseil 1 et apprend à réellement prier Dieu. Ça va te donner une mesure et une clairvoyance dans tes actions. On est tous dépendants de l'amour et l'affection de l'autre, mais c'est la mesure qui fait la différence ». Voilà un conseil très avisé.