Il y a plusieurs jours maintenant, l’ancienne dirigeante sportive et influenceuse Patience Marlène Emvoutou a été sévèrement humiliée. La propriétaire de la maison qu’elle loue à Yaoundé a fait sortir ses effets personnels, l’accusant de filouterie devant une foule qui s’était réunie et a filmé la scène. Marlène Emvoutou ne paierait pas son loyer depuis plusieurs mois.
La situation a fait rire beaucoup d’internautes et plusieurs activistes et lanceurs d’alertes se sont moqué de Marlène qui n’a rien vu venir. Jacques Jorel Zang fait partie de ces pourfendeurs.
Il n’a pas été sans pitié pour Emvoutou, la traitant de bonne à rien et d’incapable à construire une maison propre à elle malgré qu’elle se vante d’avoir beaucoup d’argent et de connaissances.
Maintenant, c’est une autre influenceuse qui se fait humilier par le même homme, décidément sans pitié quand il s’agit de corriger verbalement ses compatriotes sur la mauvaise voie.
L’actrice, scénariste Diana Mekongo s’est montrée compatissante vis-à-vis de ce qui est arrivé au journaliste Bruno Bidjang : « Du courage Bruno Bidjang. Il y a des saisons de troubles et de fortes oppressions, que rien ne t’ébranle, accroches-toi juste et je crois assurément que tu sortiras non seulement grandi mais aussi aguerrie », a-t-elle écrit sur les réseaux sociaux.
Diana Mekongo a enchaîné qu’on « ne jette pas des pierres à un arbre qui ne porte pas de bons fruits. Stay focus. Que le Seigneur te fortifie et t’accorde la sagesse nécessaire pour tenir face à ces vents impétueux ».
C’est alors que Jacques Jorel Zang lui est rentré dedans : « Diane Mekongo, tu es une excellente comédienne et vraiment à ce niveau il n'y a rien à dire mais parfois tu fais des publications qui donnent plutôt l'impression que tu fais du racolage chérie.
Je sais que les temps sont durs et que tu es en quête de visibilité pour te faire un nom dans ton métier (ce qui d'ailleurs n'est pas mauvais en soi) et que par conséquent tu essaies tant bien que mal d'attirer les regards des gens qui peuvent t'aider dans ce sens vers toi mais vraiment c'est pas en faisant de pareilles publications très ridicules que tu vas y arriver.
Dernièrement c'est le ndutuman soyasard étranger (Rigobert Song Bahanag, ndlr) que tu adorais ici sur Facebook, on aurait dit que tu jouissais au lit en écrivant ce texte amusant tellement tu rivalisais de tous les superlatifs le concernant juste pour attirer son attention genre "vois-moi aussi j'existe" et aujourd'hui c'est sur Bruno Bidjang que tu es arrivée.
Ok ma chérie, il va donc t'inviter (je le taggue même encore pour qu'il voit bien que c'est ça que tu veux depuis donc ne me remercie pas du tout pour la publicité) et qui sait même, peut-être en rentrant de chez toi après une soirée arrosée en ta compagnie il aura cette fois plus de chance d'arriver chez lui sans accident.
"La sainte nitouche" ne te va pas du tout. Tu veux jouer la "miss parfaite" mais tu ne l'as pas car nous savons le but de tes publications dont arrête d'être ridiculement amusante.
Les vents impétueux et tout ce qui ébranle ton "chéri" là ne sont que la résultante de son propre karma dû "à ses choix de vie" donc au lieu de faire "l'atalaku" à de pareilles personnes en voulant l'encourager dans sa merde, tu ferais mieux de te consacrer sur la comédie que tu sais faire de mieux.
NB : Si tu veux insulte-moi mais sérieux comme a su bien le dire Charlotte Dipanda "on s’en fout". Je t'aurais déjà dit ce que je voulais te dire sans intention de te clasher car je n'ai pas du temps à perdre et ce n'est d'ailleurs pas mon objectif. Le racolage et "l'atalaku" diminuent l'estime que les gens ont pour toi ».