La maîtresse de son mari sympathise avec elle avant de l'enfoncer

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Mon, 29 Sep 2025 Source: www.camerounweb.com

Il faut se méfier des personnes qui s'approchent de nous de façon inattendue et essayent d'avoir notre amitié. Le plus souvent, elles sont fausses et méchantes. La femme mariée dont l'histoire suit l'a appris à ses dépens.

La maitresse de mon mari est venue me supplier. Elle a pleuré et me demande pardon, car elle fréquentait mon mari. D'après ce qu'elle m'a dit, elle ne savait pas qu'il était marié. Elle était avec lui depuis plus de six mois avant de réaliser qu'il était marié depuis six ans et avait deux enfants de quatre et six ans.

Il y a longtemps, j'avais décidé d'arrêter de m'inquiéter des activités de mon mari avec les femmes et de me concentrer uniquement sur mon business et mes enfants. Je n'avais donc rien contre elle. J'étais totalement convaincue. Elle était si convaincante que j'ai même eu pitié d'elle et j'ai décidé de lui pardonner.

Elle m'a demandé mon amitié et j'ai accepté. Nous sommes devenus très proches et elle passait toujours à la maison avec des cadeaux pour mes enfants : parfois des bonbons, des biscuits et du jus de fruits.

Un jour, elle m'a acheté une belle paire de pantoufles. C'était son premier cadeau pour moi. J'étais heureuse car elles étaient vraiment belles. J'étais loin de me douter que c'était le début d'un profond chagrin pour moi. Trois jours seulement après avoir porté mes pantoufles au marché, je suis revenue très mal et je ne sentais plus mes jambes.

Le lendemain, à mon réveil, j'ai constaté que ma jambe droite était légèrement enflée. J'avais aussi des démangeaisons intermittentes. J'ai appliqué un pansement sur la jambe, mais la situation s'aggravait de jour en jour. J'ai ensuite consulté un pharmacien qui m'a prescrit des comprimés, mais rien n'y faisait.

J'ai été hospitalisée à plusieurs reprises, mais la situation s'aggrave. Mon mari a commencé à m'ignorer, à se coucher tard et à me maltraiter. Son attitude a tellement empiré que ma famille m'a demandé de rentrer.

Cela fait six mois. La dame qui était venue me demander pardon ne m'a jamais rendue visite depuis qu'elle m'a offert ces pantoufles. Pire encore, elle a même emménagé chez mon mari dès que j'ai quitté son domicile. Je suis actuellement chez mes parents, sous traitement médical. Tous les examens effectués montrent que je vais bien.

Nous sommes allés dans plusieurs églises et avons consulté plusieurs médecins traditionnels, mais rien ne fonctionne. Je veux pouvoir élever mes enfants et leur témoigner un amour maternel.

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