'Mieux je meurs' : c'est inquiétant, Happy d'Efoulan lève le voile sur ses sombres idées

Happy d’Effoulan passe à table dans un direct avec Lolita la Baronne. Le chanteur qui, depuis un certain temps est sous l’empire de la drogue a révélé que parfois, qu’il lui arrive de nourrir l’idée de mettre fin à ses jours sur terre. De plus, il a révélé son intention de confronter son producteur, qui a eu à maintes reprises recours à la violence envers lui.

Ce qui suit est une transcription de la conversation entre Happy d'Effoulan et Lolita la baronne, au cours de laquelle ces déclarations ont été faites :

"Labaronne : nous la Diaspora, nous voulons t'aider. Est-ce que tu es prêt à suivre une cure de désintoxication ?? Parce qu'il faut aussi que tu acceptes que tu as de problème.

Happy : si la Diaspora me donne de l'argent j'accepte. Parceque ça me gène déjà. Même pour chanter, la voix ne sort plus.

Je suis prêt à faire les efforts ma mère.

Labaronne : ton producteur dit que tu as signé 2 contrats avec lui c'est vrai ???

Happy : j'ai signé un contrat avec lui. Le deuxième contrat dont il parle je ne connaît pas.

On m'a seulement révélé ça.

Il a signé ça avec mon ex manager diplomate derrière dernière.

Je lui ai dit que quand ça va cuir on ira en justice et on verra s’il ne me remettra pas mes pages.

Même si tu ne me remets pas ces pages, je créerai d'autres et je me battrai pour conquérir de nouveau les abonnés. Je suis un petit intelligent.

Labaronne : quand nous te voyons ainsi, ça nous fait mal. Peux-tu promettre à la Diaspora que tu pourras te soigner ?

Happy : je suis prêt mais que mon producteur arrête de me Kaka parce-que s'il le fait encore. Je vais chercher sa maison et bruler.

Il m'a tellement Kaka et actuellement je n'ai pas où vivre. Je souffre je n'arrive plus à dormir car je suis tout le temps entrain de penser.

Souvent je me dis mieux je meurs.

Labaronne : Tu ne peux pas penser à la m0rt alors qu'il y'a tous les camerounais qui veulent t'aider, te soutenir pour que tu puisses sortir de là.

Happy : d'accord ma mère j'attends votre signal pour la cure de désintoxication."