Sa réaction lorsqu'elle découvre que son mari est un voleur

Pasteque Fille Rg Elle ne connaissait pas bien son homme

Fri, 1 Mar 2024 Source: www.camerounweb.com

Elle était loin d’imaginer le pire. Mais tout a fini par être clair pour elle et notre très chère madame raconte l’histoire ci-dessous.

Mon époux est un voleur. Je ne savais pas que celui avec qui je partage mes nuits était un voleur. Il y a de cela 5 mois, monsieur et moi nous nous sommes rencontrés dans un supermarché, quand il m'a abordée et m'a demandé où je vivais, et c'est ainsi que nous avons entamé une discussion et qu'il est parti. Le lendemain, il m'a invitée dans un petit restaurant, à mon arrivée il m'a payé à manger et à boire.

Mais à la fin, j'ai constaté que l'addition était basse, les plats à 5 000 francs étaient facturés à 1 500 francs, donc j'étais étonnée et j'ai demandé si tout était moins cher ici, il m'a dit que non, mais qu'il était un client privilégié, c'est pourquoi on lui accordait des réductions. J'ai cru et nous sommes allés chez lui. À mon arrivée dans sa chambre, j'ai trouvé des portables, un ordinateur et d'autres appareils sans chargeur ni batterie, et les cartes SIM étaient cassées et posées de côté. J'ai demandé s'il était technicien, il m'a dit qu'il avait un frère technicien.

Dans sa chambre à coucher, il y avait plein de chaussures différentes pour hommes et femmes, il m'a dit qu'il envisageait d'ouvrir une boutique et m'a demandé de choisir les chaussures qui me plaisaient, alors sans tarder, j'ai choisi et il m'a dit de les porter seulement la nuit et de ne pas les porter en sa présence. J'ai dit ok. Il m'a baisée le premier jour, et j'ai aimé, donc je revenais chaque jour, et je passais souvent la nuit chez lui. Le truc bizarre, c'est qu'il sort toujours la nuit vers 2h, il rentre tout fatigué et souvent sale.

J'ai voulu savoir ce qu'il faisait comme travail mais il ne me dit rien. La nuit du mercredi, il est rentré avec une grande vitesse dans la maison et s'est introduit dans la chambre sans chemise, il était en caleçon et sentait l'essence, puis il a verrouillé tout. J'avais peur et il m'a dit que des gens voulaient l'agresser et qu'il s'était échappé. Je commençais à me poser des questions et je doutais de lui, alors comme je suis partie à la maison, j'ai décidé de porter une paire de chaussures qu'il m'avait donnée et m'a interdit de porter le matin, et je me suis rendu chez lui, mais une fois dans son quartier, une dame m'a arrêtée et a demandé où j'avais acheté ces chaussures-là, j'ai dit au marché alors la dame m'a dit que les chaussures n'étaient pas à ma pointure car je porte du 45 et la chaussure est du 40, donc mon pied est resté dehors, la dame a dit d'enlever ces chaussures-là, elle va voir, et elle a essayé ça et cela lui allait très bien, elle m'a dit que c'était moi qui avais volé ça.

Nous avons commencé à nous disputer et elle a détaché son chien sur moi. Ce jour-là, j'ai couru comme une voleuse et tout le monde se moquait de moi. J'ai connu la honte, j'ai dit ça à mon homme et il n'était pas gêné, il était même content. Je suis fâchée et je suis partie sur la voie, j'avais faim et je me suis arrêtée au restaurant où il m'avait invité à manger le premier jour de notre sortie.

J'ai commandé le même plat à 1 500 francs qu'il m'avait commandé et j'ai fini de manger et j'ai remis les 1 500 francs et la serveuse m'a dit que ça faisait 6 500 francs et j'ai dit que j'étais venue ici avec mon mari et que c'était 1500 francs qu'on avait payés et c'est là qu'elle m'a dit que mon mari, il amenait son poulet et son chat de la maison et qu'ils les mettaient dans son plat, c'est pourquoi il payait tel prix. J'étais abasourdie, je n'avais plus de bouche pour parler, et pire, je n'avais pas d'argent encore pour compléter, j'ai été obligée de faire le ménage, nettoyer les toilettes et faire la vaisselle avant de partir. Vraiment, je ne sais pas qui m'a mis cet homme sur mon chemin, mais je ne peux pas le quitter parce qu'il me traite bien, donc je l'aime. Maintenant, j'ai peur de ne pas copier ses sales habitudes (…).

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