Sexe contre contrat : fuite d'une vidéo privée de la promotrice Nguena et ses acteurs

Vendre sa dignité contre un contrat de travail

Mon, 13 Feb 2023 Source: www.camerounweb.com

C’est une histoire lugubre qui scandalise les internautes et tous les observateurs de la scène culturelle camerounaise depuis qu’elle est devenue virale.

Malheureusement, ce n’est pas la première fois que de telles demandes des employeurs ou employeuses fuitent sur la toile.

Très souvent, c’est pour profiter de l’employé.e avant de lui donner le travail pour lequel il/elle postule, sans aucune pitié.

L’histoire qui suit nous est racontée par le lanceur d’alerte Nzui Manto qui a également publié une vidéo dans laquelle on entend la nommée Nguena demander ce qu’elle a toujours l’habitude de demander à ses collaborateurs et collaboratrices.

On peut lire sur la page de la source susmentionnée que « Sylvie Nguena promotrice du label cinématographique Nguena Production impose les relations se.xuelles et des pratiques sataniques à ses acteurs ».

Plus précisément, « elle exige que lors des rapports se.xuels, les acteurs doivent éja.culer dans la bouche de son totem chat qui se trouve entre ses jambes ».

Mais également selon Nzui Manto, Sylvie Nguena « impose aux actrices qu'elle recrute pour ses séries de la lécher ».

Et aussi, « Kolo sucré, Massa Yakop, Fingon, Annie Anzouer auraient rejeté ses conditions de tournage selon ses acteurs en détresse dont certains ont reçu des plaintes déposées par la sorcière Nguena ».



Cette histoire rappelle une autre qui s’est produite en 2022 avec l’actrice Léa Monkam qui visiblement sur les images, se donnait à un directeur général d’entreprise pour mettre la main sur un contrat juteux.

Les images avaient fait le tour des réseaux sociaux : « Je n’arrive pas à dormir. Regardez dans quel état vous m’avez mise (…). Oui je suis une femme, une jeune comédienne, c’est vrai que j’étais dans ces locaux pour un contrat, pour ceux qui veulent tous les détails comme si vous êtes des enquêteurs », avait-elle reconnu.

Source: www.camerounweb.com