Sexe dans le bureau du DG : l'actrice camerounaise avoue

• Léa Monkam est passé de l’ombre à la lumière

• Elle est une actrice camerounaise

• Ses photos circulent sur le web



Depuis mardi le 27 septembre 2022, le nom "Léa Monkam" fait le tour des réseaux sociaux avec des photos publiées où on la voit dans un bureau avec un homme qui serait un directeur d’entreprise. Léa Monkam aurait accepté de donner son corps pour décrocher un contrat, c’est l’information principale qui a accompagné les photos.

Quelques heures après cette actualité reprise un peu partout, il est de plus en plus sorti sur les réseaux sociaux que tout ce cirque ne serait que du buzz comme les acteurs culturels camerounais ont pris l’habitude de le faire ces derniers temps.

Léa Monkam aurait elle-même fomenté le coup dans les moindres détails pour s’attirer une notoriété pour la suite de sa carrière. Elle qui est jusqu’ici, inconnue par le grand public.

La principale concernée n’a pas encore confirmé si oui ou non, tout ce qui se raconte est vrai. Mais elle promet de le faire très rapidement : « Je n’arrive pas à dormir. Regardez dans quel état vous m’avez mis. Facebook m’a finie, même ma famille ne me laisse pas, tout le monde me demande des explications sur quelque chose que je ne connais pas. Vous voulez savoir quoi ? ».

Léa Monkam dit « oui je suis une femme, une jeune comédienne, c’est vrai que j’étais dans ces locaux pour un contrat, pour ceux qui veulent tous les détails comme si vous êtes des enquêteurs ».

Voilà c’est de là que viennent ces images mais je vous assure que tout ne s’est pas passé comme vous voyez là. La personne qui a publié ces images-là est mal intentionnée, très mal même à la limite méchante. Je vais tout dire demain (jeudi le 29 septembre, ndlr), tout sans rien laisser, aucune vérité ne sera cachée et aucun nom couvert », informe-t-elle.

Dans un autre post, elle demande à être laissée tranquille : « S’il vous plaît, ne me lancez plus les mots qui me font mal, on va tout expliquer demain dans un direct à 19 heures, je ne suis pas comme ça, pardon ne me jugez pas ».