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Team work makes the dream work- Walter Ebelle

Walter Ebelle Walter Ebelle

Wed, 17 Jun 2015 Source: doualackomentmag.com

Une âme d’entrepreneur acharné, une optique ambitieuse, le Cameroun a de beaux jours devant lui en comptant dans ses rangs de plus en plus de jeunes « qui osent ! ».

Aujourd’hui DCK vous amène à la rencontre de l’un d’entre eux, Walter Ebelle, Co-Fondateur de Arise Entertainment.

Suivez-nous.

Bonjour Walter, merci d’avoir accepté cet entretien…

Bonjour Douala C’Koment, c’est moi qui vous remercie de m’accorder un espace sur votre plateforme.

Si tu devais faire ton propre portrait-robot, que dirais-tu ?

Walter est un jeune homme d’une vingtaine d’années, étudiant en économie et passionné de medias et entrepreneuriat, ainsi que de cuisine. Ceux qui me connaissent me disent intelligent et plein de ressources… On m’a même dit une fois que je suis « la stratégie en personne », je ne sais pas si c’est vrai mais bon je prends quand-même (lol).

Si nos informations sont bonnes, tu résides actuellement en Asie pour tes études, pourrais-tu nous parler de ton parcours scolaire ?

Oui je vis en Chine depuis plus de 4 ans maintenant.

Mon parcours scolaire…

J’ai obtenu un Baccalauréat D (mention) au Centre Educatif d’Ekoudou-Bastos à Yaoundé et puis j’ai fait une année à l’Université de Yaoundé II. Durant cette année-là j’ai obtenu une bourse d’études de la Coopération sino-camerounaise et c’est comme ça qu’en septembre 2011 j’ai atterri à la Beijing Language and Culture University ou j’ai obtenu un diplôme en langue chinoise, avant d’intégrer Yanshan University ou j’étudie à présent l’économie internationale.

Venons-en à Arise, pourquoi s’être lancé dans l’entrepreneuriat musical ?

En fait Arise est né d’une nécessité. M’occupant primairement de gérer la carrière de l’artiste Numérica, nous nous sommes parfois confronté à des situations où nous devions être représentés par une structure légale et comme nous l’ambitionnions déjà, c’est tout naturellement que l’on a cofondé Arise Entertainment.

De qui es-tu entouré au quotidien pour développer ton activité ?

Arise est structure complète. Nous avons un Marketing Manager Eloundou, Un Communicateur Arnold Ngatcham, un General Manager Olivier Tientcheu et dans peu de temps une charge des relations publiques ainsi que beaucoup de personnes qui nous apportent leur aide au quotidien. Nous sommes une équipe, une famille qui s’agrandit petit à petit.

Le management, qui plus est artistique n’est pas une tâche facile, comment arrives-tu à gérer la pression ?

Comme quelqu’un l’a dit »Team Work make the dream work’’. Je crois que c’est le travail d’équipe.

Quelles ont été les dernières évolutions d’ARISE ces derniers mois ?

Ces derniers mois ont été particulièrement riche en expérience. Nous avons réussi à promouvoir le projet »My Own Way », EP de l’artiste Numérica qui est disponible dans plusieurs points de vente au Cameroun. C’est quelque chose que l’on planifiait depuis longtemps et ça fait plaisir de voir les retours positifs. Sinon Arise c’est aussi des Sponsoring que nous avons décroché pour Numérica, nous en diront plus très bientôt mais déjà sachez que la machine est en route.

Nous te savons également impliqué dans d’autres projets tels que Life Standard Media ou encore Black Square Mag, peux-tu nous en dire plus ?

Décidément on ne peut rien vous cacher. Oui effectivement je suis plus ou moins impliqué dans Life Standard Media et Black Square Mag. Concernant Life Standard Media, il s’agit d’une maison de « communication visuelle » comme aime à le souligner mon partenaire Daniel Bigdi. Nous réalisons des supports de communication visuelle pour particuliers et entreprises principalement, et j’y suis à la charge du volet »Corporate »

Nous en sommes à quelques réalisations déjà et comptons parmi nos clients, Numérica naturellement mais aussi d’autres artistes tels que le rappeur Dareal ou le beatmaker A.N.G, l’entreprise Seigneurie, Big Dreams Entertainment, et Starter Mag entre autres.

Quant à Black Square, c’est un média fondé par des personnes que je connais bien et j’y apporte mes idées y contribue via des articles relevant de la créativité du monde noir, du moins quand je peux. Voilà en gros pour ce qu’il en est de ces deux entités.

Plus personnellement, que fait Walter quand il ne travaille pas ?

Je vais en cours, ou je fais la cuisine en général. Je me suis également mis à la gym dernièrement, donc voilà je ne m’ennuie pas.

Merci Walter pour cet échange fort enrichissant… Un dernier mot pour nos lecteurs ?

Mon mot de la fin ira surtout à votre équipe. Merci Douala C’Koment de m’avoir reçu et beaucoup de courage pour la suite… Vous faites un travail remarquable et remarqué.

Source: doualackomentmag.com