Un film sexuel très indécent est arrivé sur le territoire camerounais

Barbie est le film évènement interdit dans plusieurs pays. La production cinématographique fait l’objet de très grandes divisions. Certains plus ouvertes et très fans de la thématique rêvent de la regarder mais pour les gouvernements qui tiennent à préserver les bonnes valeurs morales, pas question que le film soit adopté sur le territoire.

Le monde écrit ce jour que « pendant trois (03) semaines, les rares salles de cinémas ouvertes en Algérie se sont parées de rose pour projeter le blockbuster américain Barbie. Comme ailleurs dans le monde, des files interminables de spectateurs ont rempli des salles qui ne s’étaient animées qu’en de rares occasions durant l’année. Jusqu’à ce que, dimanche 13 août, le film de Greta Gerwig, déjà un des plus vus de l’histoire sur grand écran, ne disparaisse, résultat d’une décision inattendue du ministère de la culture ».

Au Cameroun, Barbie est sur le point de faire son apparition et les parents craignent déjà le pire, comme nous l’apprend la source dont nous citons les propos : « Plusieurs parents s'offusquent de la programmation du film Barbie à Canal Olympia. Nous avons été interpellés par des parents qui s'interrogent sur le rôle de la direction de la cinématographie et des productions audiovisuelles du ministère des Arts et de la Culture, censée s'occuper de la norme et des contrôles en matière de films à diffuser au Cameroun ».

Mais encore « cet organe a-t-il donné son quitus pour la diffusion de ce film déjà interdit dans plusieurs pays pour atteinte à la morale publique, promotion de l'homosexualité et changement de sexe ? Le ministère de la Culture est ici appelé à jouer son rôle ».

La même source avance dans un autre post que nous avons consulté que « le ministre camerounais, Pierre Ismaël Bidoung Mkpatt, de la Culture n'a-t-il pas joué son rôle en donnant le visas de diffusion du film Barbie ? Nous vous le disions hier, plusieurs parents s'offusquent de la programmation du film Barbie à Canal Olympia ».

Or, « au ministère des Arts et de la Culture existe la direction de la cinématographie et des productions audiovisuelles, censée s'occuper de la norme et des contrôles en matière de films à diffuser au Cameroun. Il a obligation de visionner les films avant délivrance de visa d'exploitation. Que s'est-il donc passé ? Telle est la question de plusieurs parents ». C’est chaud mais tout semble indiquer que le chien va aboyer mais la caravane passera, comme toujours malheureusement.