La douleur provoquée par la mort de Cabrel Nanjip Nyamton
On sait que Laure Moa Minga et son compatriote influenceur décédé Cabrel Nanjip Nyamton étaient vraiment très proches. À l’annonce de la mort par accident de l’humoriste jusqu’à son enterrement, Laure Moa Minga n’a jamais cessé de pleurer à chaudes larmes.
Peut-être qu’à un moment donné, elle en a fait de trop ou soit alors, elle n’était pas vraiment sincère. Parce qu’on l’a vue pleurer et au même moment réaliser des directs dans lesquels elle promouvait les produits de certaines marques dont elle est l’égérie.
Alors tout le monde s’est disait que Laure Moa Minga utilisait la mort de Cabrel Nanjip à des fins personnelles, pour attirer beaucoup plus l’attention des internautes et drainer du monde autour d’elle pour ses propres projets.
Une personne proche de Cabrel qui se fait appeler 'I am Kouya' sur les réseaux sociaux, a poussé un coup de gueule : « Partager seulement sa chanson. Tu ne l'as pas fait que dire ? Tu ne t'es impliquée en rien. Tu as toujours été là au bon moment avec ton équipe technique grâce à qui tu as eu ton point d'honneur aux yeux du public durant ses obsèques », dit la fameuse I am Kouya.
« Nous respectons ta douleur mais en même temps, nous ses proches ne pouvant rester aussi muets face à tant d'hypocrisies pour le paraître. Ne dit-on pas que les vraies douleurs sont silencieuses ? Alors comment comprendre ta capacité à allumer ta caméra, mettre le filtre pour proposer au public un tel scénario ? Big shame ! », enchaîne-t-elle.
Pour le reste, elle fait comprendre à Laure Moa Minga qu’honorer « sa mémoire c'est également soutenir ses œuvres qu'il a laissées pour permettre à ses deux enfants qu'il a laissés et ces jeunes qu'il encadrait d'avoir de quoi manger au quotidien et d'être scolarisés ».
« Faut avoir un peu de respect pour toi, pour lui et pour nous. Donc cesse avec ton petit cinéma je t’en prie. Et mobilise plutôt tes collaborateurs tiktokeurs à faire des trends sur ses chansons », termine la défenseuse des intérêts de Cabrel Nanjip Nyamton.
