La reine du bikutsi, Lady Ponce de plus en plus isolée dans le monde musical camerounais. Elle profite ces derniers jours d’une mauvaise publicité depuis le déclenchement de ses règlements de compte avec le « libérateur », le roi du « Facebook ». Les clashs de ces artistes camerounais deviennent viraux sur le net.
Des propos qui sont mal digérés par la comédienne Aline Zomo-bem. Prenant la défense de Longuè, elle a déballé sur la place publique dans une vidéo Facebook live la vie privée de Lady Ponce. Rien n’a été laissé en suspens, sa sexualité bisexuelle, sa carrière soutenue par des pratiques mystiques, son quotient intellectuel, ses relations « sexuelles » avec Harris de X-Maleya, de son producteur, du Congolais Koffi Olomidé avec qui elle avait fait un featuring « Devine ».
Touchée par les critiques virulentes des uns et des autres, la chanteuse s’est rapidement excusée auprès de ses fans, ses ponceurs et ponceuses pour les rumeurs qui circulent sur elle.
Comme réplique, Zomo-bem dans une nouvelle vidéo menace Lady ponce de s’excuser auprès de Longuè Longuè sinon elle va balancer sur le net sa vidéo sextape qu’elle fait avec une femme au Cameroun. C’est le wait and see du côté de Lady Ponce. Fera-t-elle ses mea culpa à Longuè, s’entêtera-t-elle aux menaces de Zomo-bem ? Les prochains jours, nous en saurons davantage.
Pour le moment, des voix s’élèvent pour se ranger derrière l’artiste Longuè Longuè. Selon les déclarations de la chanteuse. Longuè, un homo selon elle veut lui arracher son homme.
« Lady Ponce n’a jamais été un modèle pour la jeunesse ; elle chante quoi s’il vous plait, nous avons besoin des musiques pleines de message, de réconfort comme celles de Longuè Longuè. Nous voulons les musiques qu’on peut suivre en compagnie de nos enfants sans honte et celles de Longuè Longuè font partir. Est-ce que nous pouvons suivre les musiques de Lady Ponce en compagnie de nos enfants ?? Honte à elle ; elle ne vaut pas Longuè Longuè , malgré tout jamais Longuè Longuè , ses musiques sont instructives. Lady Ponce est perverse, » peut-on lire sur le mur d’un camerounais.