Pourquoi ce sont toujours nos sœurs de Mbeng qui se plaignent d’escroquerie des hommes ?
• Noëlle Kenmoe et Fingon Tralala encore et toujours
• Flore Brésilienne se dit victime d'escroquerie
• Presi Amot n'en est pas d'accord
Flore Brésilienne est l’ex-femme de l’humoriste camerounais Fingon Tralala. Celui-ci est actuellement en pleine relation amoureuse avec Noëlle Kenmoe et ne le cache pas. Depuis, chacun essaie de donner les raisons qui motivent la prise de distance ou la rupture. Pour Flore, Fingon n’est qu’un profiteur et un menteur sans scrupule. Mais Presi Amot ne voit pas les choses de la même façon.
Presi Amot est un homme d’affaires camerounais qui est exaspéré de voir que ce sont à chaque fois les femmes qui crient au vol : « Pourquoi ce sont toujours nos sœurs de Mbeng qui se plaignent d’escroquerie des hommes ? », a-t-il demandé sur sa page Facebook.
Par la suite, il a raconté une histoire qu’il n’a pas oubliée : « Je me rappelle à l’époque, je voyais certains de nos parents du quartier qui avaient perdu leurs emplois, se faire entretenir par nos mamans du Kwatt et aucune ne déposait la plainte en public. Quand ça ne va pas dans un couple, chacun doit prendre son nouveau chemin en toute tranquillité et laisser nos oreilles en paix. Les gens divorcent toutes les minutes et il y a aussi des nouveaux mariages toutes les minutes ».
Il a ensuite enchaîné dans une autre publication : « Quand l’homme donne à la femme, on ne parle jamais d’escroquerie mais dès que la femme donne un peu à un homme, ça devient toujours de l’escroquerie. Parfois quand ça ne va pas, il faut changer et vaudrait mieux faire 20 expériences que de mourir étouffé. Habituellement je suis du côté des femmes mais cette fois ci, je suis avec Fingon Tralala ».
En effet, Flore Brésilienne a tout expliqué sur les réseaux sociaux. Elle a partagé des captures d’écrans de leurs discussions sur WhatsApp. On peut lire sur les images : « Ouf, s’il faut le dire, tu es mon pire cauchemar. Pour moi, tu es mort et enterré. Tu dois prendre des conseillers mon petit (…). J’attends le divorce là dans de très brefs délais. A retenir monsieur, je ne veux rien de toi. Garde tes biens pour tes enfants. Voilà quelques preuves, rajoute-les à ton dossier. Si tu veux encore d’autres, je peux te les envoyer. Mon fiancé n’est pas n’importe qui ».
Pour elle, son mariage avec Fingon Tralala, celui qu’il surnomme "Gigolo Cameroun" dans sa liste de contacts, n’a été qu’une grave erreur : « Vraiment quand je pense que jusqu'à maintenant, Fingon Tralala veut me salir ici sans penser que je l’ai fait sortir de la misère en Europe, cela me fait peur, regarder les dates s’il vous plaît ».
