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'Je vends mon piment' – Majoie Ayi

Il est important de toujours mettre du piment dans vos relations

Jeu., 19 Mai 2022 Source: www.camerounweb.com

• Majoie Ayi fait une déclaration croustillante

• Elle parle de sa vie sexuelle

• La Camerounaise accorde beaucoup d’importance au piment



L’artiste camerounaise, spécialiste du Bikutsi, Majoie Ayi a posté un message sur Facebook dans lequel elle parle d’une relation amoureuse. A un moment donné, elle a déclaré : « Je vends mon piment ».

Le piment. Hum ce fruit tellement nécessaire qui nous accompagne éternellement. Je vends mon piment : Effectivement il se vend en fruits, en tas, en détail même en sac en ballot en paquet, ça dépend du client ou de l'acheteur.

Je gère mon piment : juste pour dire que tu te contentes de ce qui fait ton bonheur en ce moment-là. J'écrase le piment : effectivement pour mieux le consommer que ce soit en assaisonnement direct dans un plat ou pour accompagner des plats à table.

Il est important de toujours mettre du piment dans vos relations, vos mariages, vos échanges, vos musiques, vos affaires, bref dans tout ce que vous faites car une vie sans piment n'est que ruine de l'âme.


Majoie Ayi a une drôle idée de la communauté des biens qui ne plairait pas aux hommes

Majoie Ayi est une artiste camerounaise férue du style bikutsi très connu par les habitants. Sur sa page Facebook, elle a défini à sa façon, ou du moins donné son opinion sur le sens de la communauté des biens entre un époux et sa femme. Son message est clair, elle soutient que l’argent de l’homme est pour toute la famille. Et celui de la femme alors ?

« Mon argent c'est mon argent. Ton argent (l’argent de l’homme) c'est notre argent (toi, moi, les enfants et nos familles). C'est aussi ça qu'on appelle la communauté des biens. C'est ça et c'est comme ça », a posté Majoie Ayi.

Cette façon de voir la chose n’est probablement pas propre à l’artiste elle seule. Beaucoup d’autres femmes ont la même conviction. L’homme serait celui-là qui, seul, doit s’occuper de combler les besoins de la famille.

La communauté de biens est un régime matrimonial par défaut au Québec avant le 1er juillet 1970 pour tous les époux mariés qui n’avaient pas choisi de régime matrimonial dans un contrat de mariage notarié. La communauté de biens peut encore être choisie de nos jours par les époux dans un contrat de mariage notarié.

De fait, chaque conjoint administre ses biens personnels, ou biens propres. L'un des conjoints, souvent l'époux, est responsable d'administrer l'ensemble des biens du couple, tandis que l'autre, souvent l'épouse, s'occupe seulement de ceux qui lui sont réservés.

Par exemple, les biens qui entrent dans la communauté sont les biens communs comme les salaires et revenus professionnels, les pensions de retraite, les gains de jeux, les revenus d'épargne et de placements.

Le contraire de la communauté de biens est la séparation de biens. Dans ce régime, chacun des époux reste propriétaire des biens qu'il possédait avant le mariage, mais la différence fondamentale est que chacun conserve également la propriété des biens qu'il va acquérir durant le mariage, ainsi que ses revenus professionnels et économies.

Source: www.camerounweb.com