L'influenceuse camerounaise Nathalie Koah est sur ses gardes
• Nathalie Koah est excessivement prudente
• Elle n’a pas confiance en tout le monde
• "La nationale" a décliné une belle invitation
C’est une "petite" honte que vient d’infliger Nathalie Koah à Joyce puisque c’est d’elle qu’il s’agit. Cette dernière a pris la décision de lui faire parvenir une sympathique invitation à diner. L’influenceuse elle, n’entend pas les choses de cette oreille.
Entre prudence, crainte et attention, la célèbre entrepreneure a décliné l’offre, faisant de passage une internaute blessée dans son amour propre. Pas sûr que Joyce continue par apprécier son modèle Nathalie Koah.
Tout est parti d’un post parmi tant d’autres sur le réseau social Snapchat utilisé fréquemment par l’auteure du livre "Revenge Porn" Nathalie Koah.
Elle a été jointe par Joyce qui lui a envoyé un message attentionné : « Si tu me permets, je te fais une marmite de eru Nathalie Koah. Je suis douée dans ça ».
Le eru est un plat typiquement local fait à base de légumes, d'okok et de water leaf originaire du peuple Banyang. La recette de base contient des écrevisses, du poisson fumé et de la peau de bœuf. L'ensemble des ingrédients est souvent difficile à trouver, hors du pays.
Nathalie Koah n’a pas hésité à dire non, bien que la proposition soit tentante : « Je vous aime énormément. Mais ne le prenez vraiment pas personnellement si vous souhaitez m’offrir un repas et que je dise non. Je ne sais pas si vous acceptez des repas des "inconnus" mais si c’est le cas je vous invite aussi à plus de prudence ».
On peut imaginer le visage de cette internaute au moment où elle a lu la réponse de Nathalie Koah. Une page destinée au relai de l’actualité culturelle camerounaise s’est montrée sensible à la communication de l’ex amante de Samuel Eto'o Fils.
« Orrr les gens de Douala sont trop gentils. Une fanatique propose de faire une marmite de eru et de donner à Nathalie Koah. Mais dommage la nationale dit qu'elle ne mange pas les repas des inconnus », écrit-elle.
« On peut sécher l'enfant d'autrui comme ça adama ? », se demande ironiquement la même page. Eh oui ! Nathalie Koah a séché Joyce, et pas qu’un peu seulement.
