Les dures vérités sur les hommes que personne ne veut admettre

Il existe de dures vérités sur les hommes que personne ne veut admettre. Un coach les dévoile sur les réseaux sociaux. Il ajoute qu'il est important que toutes les femmes le sachent pour une meilleure harmonie du couple.

Les hommes ne sont aimés que pour ce qu'ils apportent.

Un homme sans argent, sans statut ni valeur est invisible aux yeux de la société, même de sa propre famille.

Les hommes ne suscitent pas de sympathie, seulement des attentes.

Un homme en difficulté est moqué, pas aidé. Le monde ne se soucie pas de sa douleur, seulement de sa productivité.

Si un homme échoue, il est livré à lui-même.

Pas de filet de sécurité, pas de pitié. Un homme qui échoue est considéré comme inutile, même par ceux qui l'ont autrefois loué.

La valeur d'un homme dépend de sa dernière réussite. Votre réussite passée ne vaut rien si vous ne parvenez pas à la maintenir. Dès que vous chutez, vous perdez toute pertinence.

Personne n'apprend aux hommes à gérer leurs émotions. La société dit « Soyez un homme », mais n'explique jamais comment gérer la douleur, le stress ou le chagrin.

Les hommes sont jugés sur leurs résultats, pas sur leurs efforts.

Personne ne se soucie de vos efforts ; si vous n’y parvenez pas, vous ne faites que vous trouver des excuses.

Les hommes doivent se construire à partir de zéro. Pas de charité, pas de raccourcis. Un homme doit créer sa propre valeur, sous peine d’être ignoré.

Les problèmes des hommes sont perçus comme des plaintes.

Si un homme parle de ses difficultés, on le qualifie de faible. S’il se tait, il souffre seul. Les hommes sont remplaçables.

Dans les relations, au travail et même au sein de la famille, si un homme ne peut pas subvenir aux besoins, il est jeté comme un vieil outil.

La valeur d’un homme est toujours conditionnelle.

Peu importe combien il aime, donne ou se sacrifie, sa valeur est toujours liée à ce qu’il peut faire. C’est la dure réalité. Un homme doit progresser, rester fort et ne jamais s’attendre à des charités. Parce qu’au final… Personne ne viendra vous sauver.