Face à l’essoufflement de l’opposition historique et à son incapacité à fédérer une candidature consensuelle, 30 partis politiques à l’instar de l’Alliance des forces progressistes de Bernard Muna et le parti Univers du Pr Mvondo Nkou et une bonne franche de la société civile s’apprêtent à coopter le Dr Christopher Fomunyoh pour affronter Paul Biya en 2018, avec en prime, plusieurs millions de dollars d’un puissant lobby américain.
Le début de l’année 2016 a ramené au devant de la scène politique camerounaise, la question esentielle et vitale de la succession à la Présidence de la République.
Pendant que les thurifé- raires et pontes du régime lancent des appels à leur champion pour une candidature à une hypothé- tique élection anticipée, les autres citoyens, fatigué d’un long règne désastreux et calamiteux, sont à la recherche de l’oiseau rare qui annoncera le printemps, celui-là qui redonnera espoir à ce vaillant peuple meurtri, fatigué et découragé par ce que lui inflige au quotidien une classe de politicards corrompus et véreux, uniquement soucieux de leur confort personnel au détriment de l’intérêt général et de l’avenir du pays.
Dans cette recherche d’une alternativepour une alternance crédible, le bilan des 26 dernières années donne à constater l’usure et l’incapacité de la vieille garde à remobiliser la population pour lui insuffler un nouveau dynamisme. Elle a perdu tout son crédit par ses mauvaises décisions et actions, ses compromissions avec le pouvoir en place, dans des sortes de deals qui n’ont fait qu’accroître la détresse et le découragement auprès de leurs compatriotes qui avaient misé sur eux pour un changement véritable du mode de gouvernance et une nouvelle approche de l’Etat.
On s’est vite rendu à l’évidence que les partis d’opposition dirigés par des acteurs opportunistes qui ont capté la contestation sociale des années 1990, ne sont pas allés au-delà de ce mécontentement général. Ils n’ont pas construit l’adhésion à une politique et à une stratégie de longue durée. Ils ont évolué avec beaucoup de sous-entendus et d’agents doubles infiltrés dans leurs rangs.
Il est facile de constater un essouflement général de l’opposition historique et une faible visibilité de la nouvelle opposition ; l’incapacité de renouvellement et de remise en cause du leadership; la perte de crédibilité et la baisse de la capacité de mobilisation des partis ;un ancrage de plus en plus tribal et régionnal.
Déjà 30 partis pour ca candidatureAujourd’hui, aucun parti politique de l’opposition n’est en situation de pouvoir gagner une élection au plan national (faible implantation, faible capacité de mobilisation, manque de crédibilité, faible capacité en ressources aussi bien humaines que financières…). Pour beaucoup de chefs de partis, la participation aux élections n’a pour motivation que la possibilité de se refaire une santé financière à travers les fonds de campagne ou les dessous de table, pour diviser l’électorat et favoriser le régime. Face à cette situation de blocage, il faut changer d’optique et de paradigme, pour offrir à notre pays la chance d’une alternance et d’un grand bond aussi bien démocratique que dans la perspective d’un meilleur avenir pour tous nos compatriotes.
De plus en plus, le nom de Christopher Fomunyoh revient au devant de la scène, comme l’homme pouvant changer la donne, en impulsant une nouvelle dynamique inclusive et victorieuse, dans l’intérêt national. Il s’est beaucoup investi dans le respect des valeurs démocratiques et humaines, à travers le monde et dans son pays. Tout le monde a pu constater sa grande présence auprès de ses compatriotes des dix régions du pays soutenant les plus vulnérables, réconfortant ceux qui sont éprouvés et invitant la jeunesse vers l’excellence à travers l’éducation et l’amour de leur pays. Christopher Fomunyoh peut être cet homme providentiel dont rêve le Cameroun, ce dénominateur commun qui peut rassembler tous les Camerounais. Il présente de nombreux atouts dont peu de personnes dans l’espace politique camerounais peuvent se targuer.
Il a un excellent parcours intellectuel et professionnel, une grande expérience d’administration et de gestion des hommes au plan national et international, un amour et un attachement viscéral pour son pays et pour son peuple, une grande facilité de contact et d’immersion populaire, un réseau associatif de soutien et de solidarité au plan national et international, une grande ouverture d’esprit, une grande capacité d’écoute et de travail en équipe parfois en situation d’urgence, une bonne connaissance des hommes et du système en place, de bonnes relations avec tous les acteurs politiques et de la société civile nationale, une excellente maîtrise des enjeux politiques et électoraux en contexte de transition démocratique, une expertise inégalable en matière de conduite, d’accompagnement et de transformation des situations de crise ; une grande visibilité internationale (auprès des décideurs, de la diaspora et de l’opinion globale) et nationale en constante progression ; un vaste réseau de communication au plan national et international (contacts directs avec les médias et efficacité d’intervention); une maîtrise parfaite et une utilisation quotidienne des réseaux sociaux ; une grande des centres de pouvoir au niveau mondial et la manière de les mobiliser pour soutenir la cause ; un excellent carnet d’adresses par rapport aux grands décideurs de ce monde, aussi bien au plan régional, sous-regional, qu’international ; une crédibilité intacte au plan national et international ; une grande capacité de mobilisation, de fédération et de leadership ; une inébranlable conviction et une claire perception des enjeux pour le Cameroun et des moyens à mobiliser pour transformer positivement la situation ; une équipe solide, solidaire, engagée et devouée à la cause nationale, travaillant depuis plusieurs années sur les dimensions du projet et sa faisabilité.
Au total, il a une forte conviction, de la compétence, de l’expertise, de la disponibilité et de la crédibilité. Il a la capacité de mobiliser tous les citoyens, au-delà des clivages ethniques, tribaux, régionaux, linguistiques ou politiques. Il peut fédérer francophones et anglophones, citadins et ruraux, hommes et femmes, jeunes et moins jeunes, travailleurs et désoeuvrés, richeset pauvres, lettrés et moins lettrés, partisans et abstentionnistes, dans une dé- marche consensuelle et apaisée, pour l’intérêt national.
Biographie du Dr. Christopher Fomunyoh
Né à Guzang, dans le département de Momo, region du Nord Ouest Cameroun, le Dr. Christopher Fomunyoh est président-fondateur de la Fondation Fomunyoh (www.tffcam.org), une organisation non gouvernementale et à but non lucrative, œuvrant dans les domaines de la démocratie, du social et l’humanitaire au Cameroun. Depuis son lancement en 1999, la Fondation dont le siège est à Bamenda , organise des séminaires de formation et de renforcement des capacités des organisations de la société civile, et des journalistes. Elle a aussi mené des activités en partenariat avec des structures de développement telles que les femmes de Bonadalé, Douala, dans le Littoral, et la chefferie Foto de Dschang dans l’Ouest.
La Fondation a aussi effectué des dons des livres dans plusieurs municipalités et établissements scolaire dans toutes les régions de Cameroun et dans la capitale politique du pays à Yaoundé. La Fondation dispose d’une radio communautaire et d’une bibliothèque publique de plus de 20,000 livres. Sur le plan international, et depuis les années 1990s, le Dr. Christopher Fomunyoh s’est consacré au développement politique de dé- mocraties émergeantes en Afrique. En tant que Directeur régional pour l’Afrique au National Democratic Institute for International Affairs (Ndi), le Dr. Fomunyoh a organisé et conseillé des délégations d’observateurs internationaux pour les élections nationales au Bénin, au Cameroun, en République de Centrafricaine, en Côte d’Ivoire, en Ethiopie, au Ghana, au Liberia, à Madagascar, au Mali, au Nigéria et en Sierra Leone.
Il a également dirigé des programmes d’assistance technique aux organisations de la société civile, aux partis politiques et aux législatures dans les pays comme le Bénin, le Burkina Faso, le Burundi, la Cote d’Ivoire, la République Démocratique du Congo, le Ghana, la Guinée Bissau, le Guinée Conakry, le Liberia, le Mali, Madagascar, le Niger, le Nigeria, la Gambie, le Sénégal et le Togo. Ses responsabilités l’amènent à côtoyer régulièrement des chefs d’état et de gouvernement, des ministres, des élus et des dirigeants politiques et civiques. En 2005, il a conçu une initiative avec les anciens chefs d’état africains (ASI) dont l’objectif était de favoriser une plus grande réflexion sur les défis des transitions démocratiques en Afrique.
En tant que directeur régional, il constitue la liaison principale entre le Ndi et le Département d’Etat, l’Agence Américaine pour le Développement International, et d’autres bailleurs sur les questions africaines. Il a été invité à faire des dépositions sur diverses questions africaines devant les commissions parlementaire du Congres Américain..
En tant qu’expert en démocratisation en Afrique, le Dr. Fomunyoh intervient régulièrement dans les programmes de Bbc, Cnn, La Voix de l’Amérique, Rfi et dans plusieurs chaînes télévisées et de radios étrangères. Il est fréquemment cité dans le New York Times, le Washington Post, le Washington Times, Le Monde, et le International Herald Tribune. Le Dr. Fomunyoh voyage fréquemment en Afrique, en Europe, et en Amérique du Nord. Il est parfaitement bilingue en Anglais et en Français. Il est doté d’une Licence en Droit de l’Université de Yaoundé au Cameroun, d’une Maîtrise (Ll.m.) en Droit International de la très prestigieuse Université de Harvard, et d’un Doctorat en Sciences Politiques de l’Université de Boston.
Le Dr. Fomunyoh est associé au Centre des Etudes Stratégique pour l’Afrique, et ancien professeur vacataire de politique africaine et de gouvernement à l’Université de Georgetown. Le NDI est une organisation non-gouvernementale, à but non-lucratif, créée en 1983 par un Acte du Congrès américain afin de renforcer et de promouvoir les institutions démocratiques et le pluralisme politique dans les démocraties émergeantes à travers le monde.