Jean-Pierre Amougou Belinga séjourne à la prison principale de Kondengui depuis plusieurs semaines maintenant. L’homme d’affaires, président directeur général de Vision 4, est accusé de « complicité de torture par aide » dans l’assassinat de Martinez Zogo, un coup fomenté en accord avec le patron de la Direction générale de la recherche extérieure Léopold Maxime Eko Eko.
Sortira ou ne sortira pas ? La question se pose. Jusqu’ici, tout semble indiquer que Jean-Pierre Amougou Belinga va encore rester un peu longtemps dans sa cellule à Kondengui puisque toutes ces demandes de libération provisoire ont été rejetées.
Le clan Belinga serait en train de se décourager. En l’état actuel des choses, toutes les stratégies sont bonnes pour renverser la table, même s’il faut se rouler par terre devant les vrais décisionnaires du pays. Bruno Bidjang n’avait-il pas déjà avoué qu’il était prêt à tout pour montrer sa loyauté à son patron Jean-Pierre Amougou Belinga ?
Le moment est arrivé et le présentateur tire déjà les ficelles dans l’ombre selon cet activiste qui croit avoir tout lu : « Zogo gate. Tous les moyens sont bons pour faire libérer "je n'ai peur de personne" (phrase fétiche employée par Jean-Pierre Amougou Belinga et devenue un surnom taquin pour lui, ndlr) quitte à se réduire à faire la lèche au palais désormais.
Le journal "L'Anecdote" de Bolingo se lance dans l'attalaku sur la personne de Chantal Biya pour essayer de toucher le cœur de la présidence sur le sort de leur "dieu".
La première dame est décrite comme charitable, sociale et surtout humaine (écrit en rouge et en gros caractères s’il vous plaît) comme pour dire à Chantal Biya de faire preuve d'humanisme concernant le cas de leur patron.
Bruno Bidjang comme je sais que c'est toi qui est à la manœuvre, sache bien que vous allez même faire l'attalaku des caleçons de Brenda Biya si vous voulez. Mais ton patron va sauf que rester à la onzième région du Cameroun. Je te le dis hoo haa.
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Chantal Biya élevée par le clan Amougou Belinga
Ah oui, vous vous croyez intelligents hein. Vous n'aviez pas dit que c'est vous qui contrôliez la justice au Cameroun ? Mort de rire. Donc vous aussi vous pouvez faire les yeux doux ? », se demande Jacques Jorel Zang.