La Commission nationale des droits de l’Homme et des libertés (Cndhl) a rendu public, le 10 novembre dernier, un communiqué dans lequel elle condamne « avec la dernière énergie », les assassinats perpétrés les 06, 07 et 09 novembre derniers contre les forces de défense et de sécurité camerounaises dans les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest.
Elle appelle surtout les pouvoirs publics à rechercher et à traduire en justice les auteurs de ces « actes de barbarie tout en continuant de prendre les mesures appropriées pour assurer la pleine jouissance du droit et de la vie et à l’intégrité physique, du droit de propriété et du droit à l’éducation à toutes les populations du Cameroun, du nord au sud, de l’est à l’ouest.
Le communiqué de la Cndhl intervient après le meurtre du militaire Yaya Oumarou, le 10 vendredi dernier dans la localité d’Akwen (Mamfe), dans le Sud-Ouest ». C’est le quatrième homme en tenue qui est tué par des assaillants sécessionnistes dans la partie anglophone du Cameroun en moins d’une semaine.
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