URGENT : le SGPR, Ferdinand Ngoh Ngoh menacé

Ngoh Ngoh menacé par les langues d’aspic

Mon, 17 Oct 2022 Source: Le Pélican N°658

Depuis la décision du Président de la République, Paul BIYA, de mettre sur pied une Task-Force devant renforcer la riposte des pouvoirs publics contre la pandémie du Coronavirus, elles sont nombreuses ces personnes qui pour des intérêts divers et variés autour de cette actualité ont juré causer une entrave sérieuse à l’initiative salvatrice du Chef de l’État pilotée par le Ministre d’État, Secrétaire Général de la Présidence de la République, Ferdinand NGOH NGOH en association à leur funeste projet, une certaine presse à scandales, avide de faveurs et de commérages de bas étages.

Ces medias dont chaque sortie entretient le fantasme de voir le Renouveau échouer dans toutes ses entreprises, quitte à ce que la Nation toute entière vive dans la paupérisation, ne voient que complots, luttes pouvoiristes et stratagèmes de tous ordres derrière chaque Grand Projet visant, soit le bien-être des populations, soit la restauration de l’image de marque de notre pays. C’est ce qui explique sans doute la campagne de dénigrement lancée contre certains proches collaborateurs du Chef de l’État, placés par ce dernier au centre de deux dossiers de la première importance que sont la lutte contre le Covid-19 et l’organisation de la CAN 2021 au Cameroun, en janvier 2022.La manœuvre ici vise à tromper l’intelligence des concitoyens dans une forme de «Task-Forces Gate»; l’idée étant de faire croire à l’opinion nationale que sous le couvert de ces unités opérationnelles, quelques collaborateurs du Chef de l’État s’accaparent la gestion de certains projets dits «juteux», à coups de milliers de milliards.

Comme c’est le cas depuis quelques mois et ce, avant sa promotion comme Ministre d’État le 04 janvier 2019 à la faveur du réaménagement gouvernemental intervenu ce jour-là, Ferdinand Ngoh Ngoh qui occupe le poste de Secrétaire général de la Présidence de la République depuis décembre 2011,est à nouveau victime d’une cabale médiatique d’une violence sans précédent surtout depuis que la Task Force Covid-19 instituée par le Chef de l’Etat lui a été confiée .Plus de vingt médias tant en ligne, écrits ou audiovisuels dans un casting de masse ont été mis à contribution pour pondre des articles de presse et réaliser des reportages qui jette de l’opprobre sur le Ministre d’État, Secrétaire général de la Présidence de la République à qui ils attribuent d’ailleurs dans leur funeste manœuvre de déstabilisation, la présidence de la République.

S’il est vrai que le Ministre d’État, Ferdinand Ngoh Ngoh jouit d’une délégation de signature comme la plupart de ses prédécesseurs à ce poste et qu’il peut aussi signer d’ordre du président de la République, il n’est pas celui qui a reçu du peuple camerounais l’onction par voie des urnes diriger le Cameroun .Seul le président Paul Biya qui du reste jouit de toute ses capacités physiques et morales lui permettant de conduire ce pays à bon port a depuis 1982, toujours reçu ce mandat de ses compatriotes chaque fois qu’une élection présidentielle a été organisée au Cameroun. Les plus avertis voient en cette autre cabale l’action néfaste de ceux qui arguent que le Chef de l’État, entend passer le pouvoir de gré à gré à un pur produit de son régime et leurs différentes allégations sur Ngoh Ngoh étant une « preuve » de leur assertion. De l’avis d’un observateur très averti de la scène politique au Cameroun, jamais un Secrétaire Général de la Présidence de la République n’avait autant subi la foudre d’une horde d’ennemis tapis pour certains dans l’ombre et pour d’autres ,membres de quelques formations politiques armés par bien d’autres personnalités du sérail qui pensent qui croient dur comme fer que c’est le Ministre d’État, Secrétaire général à la présidence de la République, Ferdinand Ngoh Ngoh qui pose une entrave sérieuse à leur ascension au sommet de l’État. Sans preuve aucune, ils sont nombreux qui lui imputent la prise de décisions personnelles sur des faits qui engagent la responsabilité du chef de l’État. Pour ceux qui veulent à tout prix démontrer que le Ministre d’État Ngoh Ngoh est celui qui décide de tout, ont même franchi le rubicond en arguant que c’est lui le vrai président.

Affirmations et autres allégations qui sans fondement, viennent étaler le degré de jalousie que d’aucuns affichent par rapport à la position stratégique qu’occupe ce haut commis de l’État auprès président de la République, S.E Paul Biya chef de l’État. Après avoir essayé en vain de de retourner le peuple camerounais contre son président, après avoir monté sans succès des stratagèmes pour une insurrection visant à renverser le pouvoir de Yaoundé, ceux-là qui restent convaincus qu’en dehors de la voie démocratique des élections ils pourront prendre le pouvoir au Cameroun, multiplient des manœuvres déstabilisatrices pour ébranler non seulement celui qui bénéficie de la très haute confiance du chef de l’État mais aussi et surtout pour déstabiliser le régime de Yaoundé afin de démontrer à la communauté nationale que le Cameroun n’est plus gouverné par celui qui a été légitimement élu .Les uns et les autres ne sont pas dupes, la nouvelle campagne de sabotage du Ministre d’État, Secrétaire général de la présidence de la République qui mobilise une vingtaine de médias a un objectif majeur, opposer les hautes personnalités de la République sur la gestion des fonds du Covid-19, les affaiblir et s’accaparer d’un pouvoir fragilisé selon leurs calculs respectifs.

Ngoh Ngoh, un collaborateur loyal

Serviteur dévoué aux côtés du chef de l’État, paul Biya, loyal, appliqué, ponctuel, assidu au travail, qui coordonne avec dextérité le Secrétariat Général de la présidence de la République, Ferdinand Ngoh Ngoh, n’a jamais lorgné le fauteuil de celui qu’il appelle son père à savoir Son Excellence Paul Biya. Son engagement au travail mérite pourtant reconnaissance et félicitation seulement, ce digne fils de la Haute-Sanaga ne reçoit en retour que de tonnes de calomnies, de coups-bas, de dénigrements et d’acharnements. Comme si être serviteur loyal et patriote était un péché ou un crime. Autant le dire ici, Ferdinand Ngoh Ngoh est tout, sauf ce que racontent ses détracteurs et ceux qui ne connaissent pas du tout le travail d’un Secrétaire Général de la présidence de la République. Tous s’abreuvent à la source du commérage et des campagnes de dénigrement public par voie des médias, réseaux sociaux, les taxis, les bars, les restaurants et d’autres lieux publics, souillant ainsi sans raison un homme intègre en manipulant l’opinion.

La délégation de signature

Ceux qui présente Ferdinand Ngoh Ngoh aujourd’hui comme étant le ‘’ vrai président ‘’du Cameroun tout simplement parce que du chef de l’Etat il a reçu une délégation de signature et qu’il signe aussi d’Ordre du président de la République doivent savoir que ses prédécesseurs tels que Titus Edzoa , le PR. Joseph Owona,Marafa Hamidou yaya, Laurent Esso pour ne citer que ceux-là, ont tous bénéficié des décrets présidentiels leur accordant, les mêmes prérogatives .Signer au nom du président de la République ou d’ordre du président est une pratique administrative courante à la présidence de la République et ne saurait être un fait à attribuer en 2020 au Secrétaire Général actuel juste parce que l’on veut démontrer que le pouvoir lui a été cédé sous le fallacieux prétexte du gré à gré. Ce sont d’ailleurs les mêmes auteurs des histoires à dormir debout qui ont annoncé via les réseaux sociaux que le président paul Biya n’était plus de ce Monde et que du côté d’Etoudi, c’est un de ses sosies qui fait des apparitions sporadiques. Heureusement que la réception régulière et récente de nombreuses personnalités internationales et autres chefs de représentations diplomatiques accrédités à Yaoundé, est venue rabattre le caquet de tous les contempteurs du chef de l’État et de tous ses proches collaborateurs.

Toujours au sujet de la délégation de signature ,en France notamment pour ne parler que de ce pays, , l’arrêté du 18 septembre 2018 portant délégation de signature stipulait que :“Le président de la République, Vu la constitution, notamment son article 13 ;Vu l’arrêté du 14 mai 2017 portant nomination à la présidence de la République, Arrête :Article 1 délégation est donnée à M. Alexis Köhler, secrétaire général de la présidence de la République, à l’effet de signer, au nom du président de la République, tout acte, autre que les décrets, pris par le président de la République en sa qualité d’autorité investie du pouvoir de nomination…”pour l’heure, Ferdinand Ngoh Ngoh bénéficie encore de la confiance de celui qui l’a porté à ces hautes fonctions de l’État du Cameroun. Toute autre action à son encontre n’est que manipulation vaine. Bien plus, le Championnat d’ Afrique des nations de football s’est joué au Cameroun et sur des stades ultra-modernes. La confirmation de la tenue de la CAN 2021 en 2022 au Cameroun par le Président de la FIFA en personne a mis tous ces détracteurs du Ministre d’Etat, Secrétaire General de la Présidence de la République K.O preuve s’il en était encore besoin que tout ce qui a été raconté en mal contre le SGPR au sujet des chantiers de la CAN n’était que de pure manipulation de l’opinion et tentative de déstabilisation de l’un des proches collaborateurs du Président Biya les plus loyaux. La manœuvre actuelle s’inscrit une fois dans cette logique …ils ne démordent pas.

Source: Le Pélican N°658
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