• L’affaire Blanche Bailly n’est pas encore finie
• La chanteuse n’a pas oublié le traitement inhumain qui lui a été réservé
• Son enfant présent au moment des faits en a pâti
Blanche Bailly n’oubliera pas de sitôt ce jour où elle a été arrêtée par les agents à son domicile, devant son enfant innocent, tous les deux tirés de force. La spécialiste d'afro-pop a réalisé elle-même une vidéo de sa brutalisation en direct pour informer les abonnés de sa page et tous les autres internautes branchés.
Il en est sorti plus tard que Blanche Bailly avait été obligée de suivre le corps habillé parce qu’elle aurait acheté un frigo chez « la chanteuse Gasha qui aurait également été interpellée par les autorités locales ».
Cette dernière « serait la personne responsable de la vente du frigo volé pour lequel Blanche Bailly aurait été arrêtée et violentée dans son domicile et par la suite libérée après avoir été attendue par les autorités », avait déclaré un lanceur d’alerte dans un forum Telegram.
Depuis, aucune confirmation de cette information n’a été faite. Tout semble indiquer qu’il n’en est rien et Blanche Bailly a été relâchée dans la foulée.
Après avoir regagné son domicile, elle a exprimé son mécontentement et promis au public qu’elle allait tirer au clair cette situation une fois totalement remise du coup psychologique qu’elle venait de recevoir.
La célébrité africaine a communiqué il y a quelques heures. Pas pour exposer la vérité liée à l’affaire dans laquelle elle serait impliquée, mais pour parler de l’état de santé de son enfant qui a tout observé et qui n’arrêtait pas de pleurer.
Blanche Bailly affirme que la santé de son fils Jayden s'est détériorée depuis son arrestation : « Ce pays ne mérite pas une jeunesse comme moi » a-t-elle ajouté.
Là-dessus, la comédienne Poumpoum avait recadré Blanche Bailly après les faits. Selon elle, la star devrait mettre son enfant dans un endroit sûr et non l’utiliser comme un bouclier.
« Je suis désolée ma belle, je suis contre la violence sur la femme mais toi-même tu n'as pas été claire. Quand on n’a rien à se reprocher on coopère, et de plus tu pouvais bien protéger ton enfant en le mettant dans la chambre. On n'utilise pas son enfant pour des choses pareilles », lui a-t-elle dit.