Le mariage était-il mieux avant ?

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• Lionel 1 month ago

  Aucun mariage n’est parfait. Mais il faut reconnaître qu’autrefois, les unions semblaient plus solides, parce qu’on accordait une vraie valeur à l’engagement. Se marier, pour l’homme comme pour la femme, c’étai ...
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  Aucun mariage n’est parfait. Mais il faut reconnaître qu’autrefois, les unions semblaient plus solides, parce qu’on accordait une vraie valeur à l’engagement. Se marier, pour l’homme comme pour la femme, c’était un privilège, un symbole de réussite, la base sur laquelle on construisait une famille.
  Aujourd’hui, le mariage est devenu une option parmi d’autres. Les attentes ont changé : certains cherchent un partenaire stable, d’autres un soutien, d'autres encore une présence ou une aide. Mais dans tout ça, on oublie parfois l’essentiel : le respect mutuel, la place et le rôle de chacun, la responsabilité que chacun porte dans l’équilibre du foyer.
  Les rôles évoluent : les femmes sont cadres, médecins, entrepreneures… les hommes aussi évoluent dans leurs responsabilités. Mais malgré cette modernité, rien ne remplace la complémentarité :
  • un homme doit rester un leader positif, un soutien, un protecteur ;
  • une femme doit rester une partenaire forte, impliquée et soumise à son homme;
  Les deux doivent marcher ensemble, dans l’équilibre, en respectant de manière constructive la hiérarchisation d'une famille.
  Le mariage reste le mariage, il est solide quand chacun comprend sa place, respecte celle de l’autre et construit avec lui, pas contre lui.

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• Lionel 1 month ago

  Par contre je m’interroge vraiment sur l’auteur de cet article et sur ses intentions.
  Le mariage reste une belle union ! Nos mères n’ont pas toutes été malheureuses, loin de là, et beaucoup avaient accès à plus d ...
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  Par contre je m’interroge vraiment sur l’auteur de cet article et sur ses intentions.
  Le mariage reste une belle union ! Nos mères n’ont pas toutes été malheureuses, loin de là, et beaucoup avaient accès à plus de choses qu’on ne veut bien l’admettre aujourd’hui. Bien sûr, il y a toujours eu des mariages toxiques. Comme dans toute époque. Mais réduire la femme au foyer à une prisonnière ou à une personne effacée, c’est une preuve d’ignorance flagrante et d’une méconnaissance totale du rôle réel que ces femmes jouaient au quotidien.
  Les discours modernes, « woke », ultra-féministes ou idéologiques, finissent par mélanger tout et n’importe quoi. Ce sont des idées qui manipulent les esprits et déforment la réalité : celle d’hommes et de femmes qui ont bâti des familles solides, avec dignité, effort, respect et sens du devoir.
  Soyons sérieux !Les hommes et femmes qui pensent que s’unir, c’est perdre sa liberté, être contrôlé ou manipulé ne devraient tout simplement pas se marier. C’est aussi simple que ça.
  Le mariage, c’est pour des personnes accomplies, matures, qui savent ce qu’elles veulent et qui ont compris le vrai sens de l’engagement.

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• LePauk 1 month ago

  C'est tout à fait vrai...Les hommes ne supportent pas de voir une femme qui ne se laisse pas dominer. Les hommes aiment dominer, contrôler tout, affirmer leur supposé "supériorité", se basant sur une conception surannée ...
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  C'est tout à fait vrai...Les hommes ne supportent pas de voir une femme qui ne se laisse pas dominer. Les hommes aiment dominer, contrôler tout, affirmer leur supposé "supériorité", se basant sur une conception surannée de leur rôle dans le foyer ou une incompréhension totale du sens de la soumission que prêchent les églises.

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• Kama 1 month ago

  Sans être un inconditionnel du féminisme à l'occidental, cet exposé est irrigué par un sexisme post-primaire, celui qui, par exemple, dispense Camerounweb de toute mauvaise conscience dans sa réification sexuelle de la ...
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  Sans être un inconditionnel du féminisme à l'occidental, cet exposé est irrigué par un sexisme post-primaire, celui qui, par exemple, dispense Camerounweb de toute mauvaise conscience dans sa réification sexuelle de la femme (Camerounaise). Les conséquences en sont socialement et sociologiquement graves. Dans un monde mercantile, la femme Camerounaise a évolué en système qui doit rapporter et s'est imposée comme telle à l'homme Camerounais. Ce n'est pas la classique prostitution dont le principe est le paiement (ponctuel) à l'acte (ponctuel). On est passé à un paiement permanent, à la guise de la demanderesse, donc plus souvent sans l'acte sexuel, à l'instar d'un abonnement média. Le male traditionnellement chasseur est en quelque sorte devenu, à son insu, proie. Cette situation ne semble pas plus rassurante quant à l'être-homme dans le Cameroun d'aujourd'hui que ne l'était l'être-femme dans le Cameroun d'hier. En d'autres termes le gibier, autrement dit et dans une certaine mesure le dominé, ne serait plus nécessairement la personne qu'on aurait tendance à croire.

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